Monsieur le Jean Marie Le Guen, sous couvert de son poste de ministre, s'offre des vacances aux frais du contribuable, c'est à dire nous, vous et moi, sans qu'aucune justification politique, diplomatique, ni même bureaucratique n'exige sa présence hors de nos frontières.
La dernière en date, car il y en a eu d'autres était Israël, en accompagnant Monsieur Valls.
Il va de soit que, quand un premier ministre fait des voyages outre frontière pour représenter la France, il n'a certainement pas besoin d'une figure ne la représentant pas et qui ne sert pas nos intérêts.
En ce qui concerne Monsieur Le Guen :
- N'a t-il pas assez de travail ?
- Quelles sont ses obligations ministérielles, mis à part sa fonction de Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement de Paris ?
- Aurait t-il préféré un poste de diplomate dans une ambassade au soleil ?
- Quelle est sa fonction officielle pour profiter de tels déplacements ?
- N'existe t-il pas des tours operator offrant les mêmes destinations mais certes, plus coûteuses ?
- Se prend-il, depuis quelques temps, pour une valise diplomatique ?
- Devons-nous comptabiliser ses déplacements douteux et sans intérêts nationaux dans nos impôts, et y aura t-il une case réservée à cet effet ?
Que de questions restées sans réponses !
Et quand on fuit les questions, c'est que les réponses peuvent être embarrassantes…
La preuve en est, qu'il fuit avec arrogance toutes questions par rapport à ses diverses présences, et qu'il n'a que faire de sa fonction première qui lui a été prêtée par les français, mais certainement pas à leurs dépens ni sur leurs dépenses.
Le bronzage et le bon teint va aussi bien aux politiques qu'à ceux qui triment et suent pour leur payer des vacances !
Mépris, le nouveau mal français
Monsieur Le Guen, des réponses !
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