Perdre un proche, c’est une douleur immense. Mais à peine le deuil commencé, l’État frappe : 20 % de TVA sur les obsèques, puis un délai de 180 jours pour payer une facture exorbitante. Et ce n’est que le début. Le patrimoine bâti au prix d’une vie de travail est méthodiquement dépouillé : maison familiale, comptes bancaires, assurance-vie, studio de retraite… Rien n’échappe. Jusqu’à 45 % en ligne directe, 55 % s’il s’agit d’un oncle ou d’une tante. Des taux confiscatoires, assortis d’abattements dérisoires. Quand le fisc oblige à vendre la maison des souvenirs pour régler l’impôt, c’est une blessure affective qui s’ajoute à la punition financière. Tout ce qui a déjà été taxé toute une vie est une nouvelle fois ponctionné. C’est la double peine : affective et économique.
Une exception française insupportable
Ailleurs, on allège cet impôt nocif. En Grande-Bretagne, l’abattement atteint 590 000 €. En Allemagne : 400 000 € entre parent et enfant. En Italie : 1 000 000 € pour tous. En France ? 100 000 € pour un enfant, 1 574 € pour un petit-enfant, 7 967 € pour un neveu. Des montants ridicules qui empêchent les familles de transmettre dans la dignité. Résultat : les droits de succession et donation, qui rapportaient 8 milliards en 2011, ont bondi à 20,8 milliards en 2023, soit +160 % en dix ans. Les barèmes n’étant plus révisés depuis 2011, chaque année l’inflation alourdit encore la facture. C’est une hausse déguisée. Pendant que la plupart des pays de l’OCDE reculent ou suppriment cet impôt, la France avance dans l’acharnement fiscal. Ici, l’héritier est désigné comme un « riche » à dépouiller. Cette vision idéologique détruit le mérite, le travail, l’effort, et conduit à la paupérisation généralisée.
Les conséquences économiques et sociales
Cette spoliation massive ne touche pas seulement les familles : elle freine les donations du vivant, bloque les investissements privés et affaiblit l’économie. Les entreprises familiales sont en danger, les projets éducatifs et immobiliers ralentissent, et la richesse, au lieu de circuler, est figée par la fiscalité. Chaque euro prélevé dans les successions est un euro en moins pour soutenir ses enfants, financer l’avenir des petits-enfants, ou investir dans des activités qui créent de la valeur pour tous. La France perd ainsi une partie de sa vitalité économique et sociale au profit d’une fiscalité punitive et confiscatoire.
Nos exigences
Nous refusons que l’héritage devienne un prétexte pour racketter toujours davantage. Nous exigeons :
Il est temps de dire stop. Assez de payer deux fois pour le fruit d’une vie de travail. Assez de livrer nos enfants en pâture au fisc. Nos voisins ont choisi de favoriser la transmission et les donations du vivant pour dynamiser leur économie. La France doit enfin suivre cette voie. Nous ne demandons pas des privilèges, mais la justice : pouvoir transmettre à nos enfants ce que nous avons bâti par le travail, l’effort et le mérite.
Signez cette pétition pour défendre l’héritage, protéger nos familles et mettre fin au matraquage fiscal qui frappe jusque dans la mort.
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