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Gouverner : c'est servir ou se servir ?

Gouverner : c'est servir ou se servir ? Pétition
79 signatures
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Auteur
Auteur(s) :
ERIC NICE
Destinataire(s) :
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE - GOUVERNEMENT - DEPUTES - SENATEURS
La pétition

Une pétition citoyenne grinçante, sérieuse, et documentée au scalpel


« Les privilèges des puissants sont toujours présentés comme les nécessités de l’État. »
— Henri Jeanson


On nous exhorte à faire preuve de « responsabilité », à « nous adapter aux contraintes », à « accepter les efforts ». Fort bien.
Mais pendant que la majorité serre les dents, une minorité continue de desserrer les cordons… de la bourse publique.


Face à ce double discours devenu banal, j’ai choisi de répondre sans grands cris, mais avec des faits, des chiffres… et une pointe d’ironie.
Parce qu’à force d’abus, ce qu’on appelle République ressemble parfois à une monarchie de confort — version tout compris, aux frais du contribuable.


Qu’on ne s’y trompe pas : cette pétition n’a rien d’un simple coup de gueule.

Elle s’appuie sur des sources officielles, des documents publics, des textes réglementaires, tous accessibles, vérifiables, et cités en toute transparence.
L’humour n’y est qu’un outil de lecture — la rigueur, elle, est partout ailleurs.


 L’Élysée, ce HLM de la République



Commençons par une petite balade dans le patrimoine discret mais cosy de la Présidence. L’Élysée, ce haut lieu du pouvoir, ne se limite pas à ses dorures et tapis rouges : il s’étend jusqu’au site dit de l’Alma, où pas moins de 64 logements de fonction sont mis à disposition des personnels rattachés à la Présidence. Le tout à des loyers significativement minorés, comme le souligne avec la réserve qui sied à son rang la Cour des comptes (Cour des comptes, 2024) et confirmé par L’Express.
Car oui, l’État veille à loger les siens… mieux que vous.


Côté ministères, la République ne lésine pas sur le confort : 80 m² de logement de fonction par ministre, majorés de 20 m² par enfant, comme le rapporte Vie‑publique.fr et l’Assemblée nationale (vie-publique.fr, Cour des comptes).


Et quand le parc républicain est à saturation ? Pas de panique : 4 millions d’euros par an sont versés par le ministère de l’Intérieur pour louer du logement privé (vie-publique.fr).


Mais les privilèges ne s’arrêtent pas là. À l’extrémité basse de la Méditerranée, perché sur son rocher, le Fort de Brégançon, résidence estivale du Président, mobilise un budget de fonctionnement annuel évalué à environ 230 000 € (lemediascope.fr).


Et pour parfaire le tableau de l’hospitalité républicaine : la Lanterne, second pied‑à‑terre versaillais du Premier ministre, accueille réceptions et hôtes officiels, dans un luxe feutré décrit par La Revue Parlementaire (vie-publique.fr).


Le parc automobile républicain : discrétion moteur


Selon le Rapport public annuel 2017 de la Cour des comptes, la France déplore un parc automobile public de 65 244 véhicules, dont près de 12 000 « non spécialisés », c’est‑à‑dire des voitures attribuées à des agents, parlementaires ou hauts fonctionnaires pour des usages non liés aux missions régaliennes (mediapart.fr, ccomptes.fr). Ce chiffre illustre un système où le nombre compte plus que la justification.


La Cour soulignait alors une absence de contrôle généralisé, des audits trop rares et des modalités d’attribution opaques, laissant la porte ouverte aux usages personnels — parfois ostentatoires — sans cadre clair (ccomptes.fr, ccomptes.fr).


En 2021, Mediapart faisait écho à ces critiques : plusieurs ministères maintenaient des flottes conséquentes, sans outil national de suivi et sans critères uniformes pour l’allocation des véhicules administratifs (fr.scribd.com).


Le résultat ? Des berlines et chauffeurs alloués pour des missions banales pouvant être assumées par transports en commun ou véhicules mutualisés — parfois même pour un simple déplacement administratif. Pendant ce temps, le contribuable finance silencieusement cette « discrétion à moteur ».


Bref, si l’utilité des véhicules de police, gendarmerie ou ambulances ne fait aucun doute, l’usage privé ou tapageur de certains véhicules de service demeure hautement contestable. Et, comme souvent, le flou administratif sert de couverture au confort républicain.


 Pendant ce temps, chez les Vikings…


Dans les pays nordiques — ces nordiques obstinés à mêler morale et pouvoir — les ministres empruntent les transports en commun comme tout un chacun (trains, métros, bus), et s’acquittent régulièrement de leur loyer sans privilèges spécifiques. Pire encore : l’usage d’un chauffeur à des fins personnelles est considéré comme scandaleux (Emile Magazine).


Prenez la Suède, par exemple : la transparence politique y est érigée en exemple, jusqu’à l’anecdote où un ministre a déclenché un tollé médiatique après avoir roulé avec un chauffeur pour se rendre à une fête familiale — jugé indigne d’un responsable public (source).


Chez nous, en revanche, ce même privilège s’appelle « avantage en nature » et se paie… avec nos impôts. Les ministres ont droit à des véhicules de fonction, chauffeurs et hébergements gratuits — le tout au nom de l'intérêt général, bien entendu.


La différence ? Dans ces nations nordiques, la transparence est une exigence, inscrite dans la culture bureaucratique, tandis qu’en France, elle demeure… optionnelle, surtout dès qu’il s’agit de justifier pourquoi les frais de logement, les chauffeurs, voire les voyages—all-inclusive—devraient être offerts au personnel politico-administratif.


Parlementaires : petite rallonge entre amis


En 2024, nos élus ont été frappés de plein fouet par la hausse du coût de la vie… la leur surtout. Fort heureusement, ils ont su réagir avec célérité :


  • + 300 € par mois pour les députés, portant leur avance de frais de mandat à 5 950 €
  • + 700 € pour les sénateurs, qui naviguent désormais à 6 600 € mensuels

Une « adaptation » — surtout pas une hausse ! — votée en toute sobriété et dans un rare élan de solidarité inter-chambres, avec pour seul mot d’ordre : rester connectés à la réalité… budgétaire du Palais Bourbon et du Palais du Luxembourg.
 RTL, Le Point, Le Club des Juristes


Pendant que le citoyen moyen compare les prix des pâtes, nos parlementaires revalorisent leurs frais de mandat — et se réservent une place bien au chaud dans l’inflation. On ne parle pas ici d’enrichissement personnel, bien sûr, mais d’un coussin plus moelleux pour s’asseoir sur la confiance publique.


Car il est vrai : la démocratie a un coût. Mais faut-il vraiment qu’elle ait autant d’options en série ?

Réforme des retraites : eux, c’est déjà fait (et bien fait)


Les anciens parlementaires bénéficient toujours d’un régime de retraite spécifique, largement financé par la solidarité nationale.


Avant 2010, ils pouvaient cotiser en double, pendant 15 ans, afin d’atteindre plus vite les annuités nécessaires à une retraite à taux plein (source : La Retraite en Clair) (la-retraite-en-clair.fr).
Aujourd’hui, un député ayant effectué un seul mandat de 5 ans perçoit une pension nette d’environ 684 € par mois, selon les données officielles de l’Assemblée nationale reprises par plusieurs sites spécialisés (contribuablesassocies.org).
Avec plusieurs mandats, la pension peut grimper jusqu’à 2 700 € nets par mois, cumulée avec d’autres régimes — toujours selon les mêmes sources (contribuablesassocies.org).


Une réforme a certes réduit les avantages — la double cotisation a été supprimée en 2010 —, mais l’esprit demeure : un traitement d’exception dans un pays où l’on demande aux autres de partir plus tard… pour moins.


Présidents et Premiers ministres : à vie et avec options


Le sort des anciens chefs de l’exécutif ressemble à un conte… fiscal :


✅ Des bureaux meublés, chauffés et entretenus, ainsi que jusqu’à sept collaborateurs, pendant 5 ans, suivis de trois collaborateurs et un agent, selon le décret n° 2016‑1302 du 4 octobre 2016 (Le petit juriste, Légifrance).
✅ Un véhicule de fonction avec chauffeur à vie, pris en charge par le ministère de l’Intérieur (Légifrance).
✅ Une protection rapprochée par le SDLP, également à vie (Assemblée Nationale).
✅ Jusqu’à 7 collaborateurs, garantis par la fameuse lettre du Premier ministre de 1985, toujours en vigueur faute de cadre plus strict (vie-publique.fr).


Le tout repose sur un texte de 1985, jamais inscrit dans la loi, et n’est encadré que par des décrets et lettres ministérielles. Le modèle reste hors champ législatif.


Ailleurs, ces dotations ont été réduites ou supprimées. En France, elles demeurent érigées en "patrimoine moral de la République", ou pour les cyniques, en héritage dynastique non déclaré — avec options « full service ».


 
Le dernier privilège : mourir aux frais de la princesse


En 2017, l’Assemblée nationale et le Sénat ont déboursé près de 1,5 million d’euros pour financer les frais d’obsèques d’anciens parlementaires — ainsi que ceux de leur conjoint ou enfant à charge. Car en République, l’honneur d’avoir siégé se prolonge au-delà de la vie, et visiblement… au-delà du cercle du défunt.
 TF1 Info, Contribuables Associés


Détail du petit faire-part budgétaire :
Assemblée : 573 000 €, soit environ 8 200 € par décès
Sénat : 967 000 €, soit environ 18 245 € par élu


⚠️ Et ce privilège ne s’arrête pas avec la mort du parlementaire : le conjoint survivant ou enfant à charge continue de bénéficier de la prise en charge publique des funérailles, y compris depuis la réforme de 2018. Le plafond a certes été abaissé à 2 350 €, mais la prise en charge élargie aux proches reste intacte (TF1 Info).


Pendant ce temps, le commun des mortels doit organiser les obsèques de ses proches avec rigueur, devis à l’appui, en espérant que l’assurance décès ou un modeste capital suffira à couvrir les 3 000 à 4 000 € en moyenne d’un enterrement classique (lecomparateurassurance.com). Et en cas d’oubli ? C’est la famille qui règle la note. Sans chauffeur, sans fleurs de la République, sans remerciement officiel.


Nos demandes : le bon sens républicain


  • Refuser la suppression de jours fériés comme variable d’ajustement budgétaire : tant que les dirigeants n’auront pas eux-mêmes renoncé à leurs privilèges, il n’est pas acceptable que l’on demande aux citoyens de travailler davantage. Supprimer deux jours de repos tout en maintenant des avantages hérités d’un autre temps revient à faire porter l’effort sur ceux qui n’ont déjà plus de marge.
  • Exiger que toute mesure de rigueur (gel des barèmes, malus renforcés, économies imposées aux collectivités…) s’accompagne d’une révision exemplaire des dépenses liées au train de vie des hauts responsables publics. L’exemplarité budgétaire ne peut rester théorique.
  • Publier annuellement et publiquement, dans un souci de transparence active, la liste exhaustive des logements et véhicules de fonction attribués, en précisant leur coût, leur occupant et leur durée d’usage. Les moyens informatiques dont nous disposons tous actuellement permettent aisément de le faire. Tout responsable politique, administratif ou autre qui tenterait de se soustraire à cette obligation devrait encourir une sanction pénale clairement définie, proportionnée, mais dissuasive.
  • Réduire ces privilèges aux seuls cas où ils se justifient par une contrainte effective (sécurité, astreinte, mission de représentation). Les autres doivent être supprimés ou rendus payants.
  • Encadrer le parc automobile administratif : publier la liste des véhicules non opérationnels (hors police, gendarmerie, douanes), imposer des règles strictes d’usage, mutualiser les moyens, supprimer les véhicules à usage personnel déguisé, et imposer aux ministres, hauts fonctionnaires et élus l’usage prioritaire des transports en commun ou des moyens sobres de déplacement lorsque cela est possible, à l’instar des pratiques en vigueur dans les démocraties nordiques.
  • Réformer les logements de fonction et les primes de sujétion : encadrer les attributions, justifier les critères, supprimer les avantages purement statutaires, et rendre publics les bénéficiaires.
  • Supprimer les postes “sur mesure” ou à recrutement discrétionnaire : imposer une sélection sur appel public à candidatures, avec jury indépendant et publication des critères retenus.
  • Réduire et fusionner les structures publiques redondantes (agences, conseils, hauts-commissariats) : toute création doit entraîner une suppression équivalente, avec obligation de rapport public annuel.
  • Réformer les retraites spéciales des élus : supprimer les régimes dérogatoires, imposer une durée minimale de mandat, et garantir un alignement strict avec les régimes communs, sans cumul possible.
  • Supprimer les avantages à vie des anciens présidents et ministres : seuls les impératifs stricts de sécurité doivent être maintenus. Ces personnalités disposent généralement de revenus de retraite confortables, voire de nouvelles fonctions rémunérées. Il convient donc de supprimer les logements, les véhicules, les collaborateurs et les bureaux de représentation au-delà d’un délai raisonnable (maximum 2 ans), avec justification publique des dépenses restantes.
  • Réduire drastiquement le recours aux cabinets de conseil privés : publier systématiquement les montants, les commanditaires, les résultats attendus, et privilégier l'expertise interne de l’État.

Conclusion : servir, enfin


Quand les dirigeants montreront qu’ils savent renoncer à l’accessoire, les citoyens accepteront mieux l’indispensable.
Ce n’est pas d’un effort qu’on a besoin, mais d’un sursaut.
Que la République cesse de récompenser ceux qui gouvernent comme s’ils étaient au-dessus d’elle.

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6 commentaires
A. - Le 25/07/2025 à 18:02:00
Je ne comprends pas qu'il y ait aussi peu de signatures pour une chose aussi importante qui risque d'impacter nos vie et la vie de nos enfants et petits enfants. Réveillez-vous bon sang ! c'est pour ça que notre pays est dans cet état, parce que les Français ne bougent plus, ils acceptent de subir sans réagir, et quand c'est trop tard, ils n'ont plus que les yeux pour pleurer.

Oui l'Etat peut faire des économies sans massacrer à chaque fois les retraités et les Français en général en taxant toujours plus les contribuables. Exemple les dépenses des anciens premiers ministres qui nous coûtent la peau du dos alors qu'ils ne sont plus en fonction. L'aide au développement de 15 milliards d'euros en 2024 financée par les Français. 1200 Agences de l'Etat qui pour plus de la moitié sont des doublons qui nous coûtent 88 milliards d'euros. L'arcom qui nous coûte 46.6 millions d'euros et qui met 500 familles au chômage et détruit la liberté d'expression si chèrement gagnée et pour qui des vies ont été sacrifiées, suppression pure et simple de tous les privilèges et avantages des anciens premiers ministres et des anciens présidents. La sénatrice à l’origine de l’amendement prévoit 2,8 millions d’euros d’économies par an, ce qui n'est pas rien. Et bien sûr il y a encore d'autres économies que l'Etat peut faire sans toucher au porte-monnaie des Français. Et le budget des associations. On estime à 1 370 000 le nombre d’associations actives en France, dont certaines politisées qui œuvrent contre les Français, budget sans cesse en augmentation en 2021 c'est 124 milliards d'euros payés avec les impôts des Français, soit plus de 3.3% du PIB. Et certaines de ces associations payées par les contribuables se dressent contre les français. Financement de la guerre en Ukraine la France a livré pour une valeur totale de 3,035 MILLIARDS d’euros d’équipements militaires à l’Ukraine, auxquels viennent s’ajouter 2,1 MILLIARDS d’euros versés à la Facilité Européenne pour la Paix (FEP), (chiffre du Ministère des Armés) soit un soutien militaire de plus de 5,135 MILLIARDS d’euros, et on apprend dernièrement que la France va donner encore 2 MILLIARDS d'euros à l'Ukraine. D'où sort tout cet argent que l'Etat n'a pas pour les Français mais qu'il a pour financer la guerre d'un autre pays que la France. Je rappelle que cette guerre n'est pas la nôtre. Ils ont dépouillé notre armée, vidé la caisse, et maintenant ils aimeraient spolier les économies de toute une vie des Français pour reconstituer les équipements militaires qu'ils n'ont plus puisqu'ils ont été offerts à l'Ukraine. Selon les calculs du Kiel Institute, entre 2022 et 2024, le soutien français totaliserait 15.7 milliards d'euros, dont 4,9 milliards d'euros d'aide bilatérale du gouvernement et 9,4 milliards d'euros correspondant à la part revenant à la France dans l'aide européenne (notamment via le mécanisme d'assistance macro financière et la Banque européenne d'investissement). En réalité, la France a pour l'instant dépensé environ 15,7 milliards d'euros en aides directes ou indirectes à l'Ukraine ou aux Ukrainiens en deux ans et demi. Au total, et elle s'est engagée pour 26,04 milliards d'euros. Je rappelle que l'Ukraine n'est pas dans l'Europe. L'Union européenne a instauré depuis 2022 une exemption de droits de douane sur des produits agricoles ukrainiens pour soutenir Kiev face à l'invasion russe. A cause de cette concurrence déloyale nos agriculteurs souffrent d'une perte sèche de leurs chiffres d'affaires à cause de la baisse de leurs prix et des normes que l'Union Européenne éxige de nos agriculteurs et n'exige pas de l'Ukraine. Combien d'agriculteurs ont mis la clé sous la porte. La France a augmenté son aide au développement de 50% en cinq ans, a annoncé dans les médias le président Macron, soulignant sa volonté d'investir dans "la solidarité internationale" Il a précisé que la France avait investi 15 milliards d'euros dans la solidarité internationale en 2022 contre 10 milliards en 2017. C’est bien d’investir dans l’international mais cet argent aurait pu servir à la solidarité nationale, car c’est tout même l’argent des Français. Mais non Mr Macron n’est pas nationaliste. On nous prend vraiment pour des idiots et des vaches à lait. On est endetté sur plusieurs générations, nous, nos enfants et nos petits-enfants, mais on continu a dilapider l'argent que la France n'a plus, pour faire bonne figure devant l'Europe. Chaque fois que Zelensky vient en France, il repart avec plusieurs milliards d'euros, il est vraiment très fort. Il y a encore des possibilités de faire des économies, mais les énumérer toutes prendraient beaucoup trop de temps.

L'Etat doit à tout prix revoir sa copie pour faire des économies au plus vite au lieu de taper dans l’épargne de toute une vie des français. Ils se fichent de nous, pendant qu’eux vivent dans l'opulence avec nos impôts, nous on crève. Des enfants dorment avec leurs parents dans la rue. En 2017 il y avait 143 000 personnes SDF vivant dans la rue, en 2024 il y avait 350 000 SDF vivant dans la rue. Mr Macron avait promis qu'il n'y aurait plus de pauvre vivant dans la rue, il y en plus du double depuis que Mr Macron est président. Promesse non tenue, parole en l'air comme d'habitude juste pour être élu. On n'arrive plus à se nourrir ni à nourrir nos enfants. Des gens fouillent dans les poubelles alors que ces gens-là mangent dans les meilleurs restaurant à nos frais. On nous enlève tous les avantages, par contre eux, ils ont des salaires de plus de 10 000 euros sans compter les frais de mandat pouvant égaler leurs salaires, des appartements de fonctions, des chauffeurs etc....., ils ne payent rien. C'est la monarchie, la place est bonne, c'est pour ça qu'ils se battent comme des chiffonniers pour sauver leurs sièges. De plus la misère dans la rue ne se cache plus. Quand je pense que c'est avec l'argent du peuple que ces gens là se pavanent. Si je fais le calcul de la rémunération des députés cela donne 7500 + 5820 + 175 + 1460 + 5373 = 20 323 € brut par mois. Sans compter tous les avantages qu'ils ont. Je rappelle que les députés ont augmentés leur frais de mandat de 300 euros par mois en janvier 2024 en pleine période de crise. Un coût total pour les contribuables de 45 millions d'euros par an juste pour les frais de mandat. Allez voir le reportage de l'émission de télévision CAPITAL sur la rémunération des députés du 16 MARS 2025 en rediffusion. Pareil pour les rémunérations des sénateurs leur indemnité parlementaire brute s’élevait, au 1er janvier 2024, à 7 637,39 € par mois soit 5 676,12 € NET. Les frais de mandat augmentés de 700 € l’an passé, s’élève désormais à 6 600 € par mois. Elle est complétée par deux autres avances spécifiques : 1 500 € par mois pour l’hébergement à Paris, et 6 000 € sur trois ans pour les dépenses informatiques et bureautiques. Total de leurs rémunérations 13 776.12 €. Il faut savoir que l’impôt sur les revenus des sénateurs est calculé sur la base de 4 200 € environ, et non pas sur la totalité de ce qu’ils perçoivent. Dîtes-moi où est l’erreur. Encore un privilège et pour eux c’est normal, alors que le français est taxé au maximum sur tout. En fait ce sont des rois, et nous des vaches à lait. Ils font ce qu’ils veulent avec notre argent. Ils ne payent presque pas d'impôt alors que nous on est massacré et étouffé par les taxes et les impôts injustes. Le budget du Sénat pour 2024 prévoit un total de dépenses de 372 629 509 €, en hausse de 1,70 % par rapport au budget réparti en 2023, ces gens-là ne veulent pas faire d'efforts sur leurs salaires ni sur leurs privilèges et avantages faramineux payés par le peuple, et ils dépensent sans compter sur le dos des Français, alors que des familles entières vivent dans la rue et fouillent dans les poubelles faute de moyen. Après la Révolution française, dans la nuit du 4 août 1789, les députés de l'Assemblée nationale constituante, dans un bel élan d'unanimité, proclament l'abolition des droits féodaux et de divers privilèges. Cette loi n'est pas respectée, et les privilèges des politiques subsistent toujours et sont de plus en plus élevés et en augmentations constantes. La Révolution française n’a servi à rien. Avant il y avait un Roi, maintenant il y en a 577 sans compter les anciens présidents et les anciens premiers ministres qui nous coûtent près de 2.8 millions d'euros en frais uniquement, sans prendre en compte leurs retraites dorées. C'est pareil pour les sénateurs qui ont augmentés leurs indemnités de 700€ par mois en pleine période de crise. Quand on voit que la plupart des sièges à l'Assemblée nationale sont vides on se demande pourquoi on rémunère si grassement ces gens et à quoi ils nous servent. Ils n'ont jamais vécu avec un smic, ils ne connaissent même pas le prix d'une baguette de pain, ils ne savent pas ce que c'est d'être pauvre. Ils se fichent pas mal du peuple, ils se pavanent à la télévision en nous enfumant, ils prennent des décisions sans tenir compte du vote des français et des besoins des Français, notre parole ne compte pas. Une fois qu'ils ont pris le siège, c'est terminé, ils oublient automatiquement leurs promesses bidon. Une poignée d'hommes et de femmes décident pour 68 millions de français, c'est un comble, normalement ils sont élus par le peuple souverain et doivent suivre les directives du peuple et ne pas faire ce qu'ils veulent. De quel droit. Ils votent des lois qui vont à l'encontre du peuple. C'est inadmissible. Ils nous taxent et retaxent sur tout, on ne fait que payer et repayer. Mais un jour, il ne restera plus personne pour payer, déjà tous ceux qui ont les moyens quittent le pays. Les investisseurs ont déserté, nous n'avons plus aucune industrie, la classe moyenne n'existe pratiquement plus, les retraités sont massacrés, et c'est pas fini. Que les politiques fassent des efforts, qu'ils diminuent leurs salaires, qu'ils suppriment leurs privilèges et leurs avantages disproportionnés et honteux en cette période de crise grave. Pourquoi on devrait tout leurs payer, y'en a marre d'être des vaches à lait. Ils ont cramé la caisse et bien sûr, on va nous taxer et retaxer pour boucher le trou béant qu'ils ont créé. Qu'on arrête l'aide au développement pour certains pays qui n'aiment pas la France. On verse 130 millions d'euros à la Chine alors que ce pays est le premier pays sur le plan économique. En France aussi on aimerait bien qu'on nous verse l'aide au développement, pour nos hôpitaux, pour nos écoles, pour nos démunis, pour nos hépads, pour les petites retraites, pour les bas salaires, mais là c'est une autre histoire, pour les Français il n'y a pas d'argent. L'Etat veut maintenant taper dans l'épargne des Français qui ont travaillé et économisé centime par centime toute leur vie durant. C'est une honte. Pourquoi ces politiques ne vendent-ils pas leurs biens pour boucher le trou béant qu'ils ont eux-mêmes creusé. Pourquoi ils ne taperaient pas dans leurs économies qu'ils ont faites sur le dos du peuple. C'est dingue, et en plus les Français ne disent rien, ils laissent faire, on ne dit rien car on est complètement lobotomisés par tous les mensonges qu'ils nous font avaler. On est des moutons de panurge. On nous enfume avec la guerre, une guerre qui nous coute près de 16 MILLIARDS d'euros, une guerre qui n'est pas la nôtre et qu'on subit de plein fouet, tant économiquement que psychologiquement. Pendant qu'on nous traumatise avec cette guerre, on n'oublie les vrais problèmes et l'avenir funeste qu'on nous prépare. J'espère que pour les prochaines élections les français parleront d'une seule voix, et sanctionneront ces politiques qui nous ont menés à la faillite, car vraiment y'en a marre de l'injustice.

Parmi les annonces indécentes et pénalisantes de François Bayrou, le projet de monétisation de la cinquième semaine de congés payés a été évoquée et elle a à peine retenue l’attention. Mais c'est très grave, et il ne faut pas laisser passer ce genre de réforme. Il s’agirait pour les salariés de se priver d’utiliser la cinquième semaine de congés payés. Cela signifie clairement renoncer à un droit chèrement acquis par le combat et la lutte. En fait, le salarié serait payé par une simple majoration horaire. C'est encore une fois nous spolier de nos droits fondamentaux. Et cette réforme si elle est votée pénaliserait des millions de salariés mais pas les politiques.

La commission d'enquête du Sénat sur les aides publiques aux entreprises évalue leur coût à 211 milliards d'euros d’argent public par an. 211 milliards d'euros versés aux entreprises sans contrôle, sans contrepartie et sans aucun accord concernant les salariés. Des entreprises du CAC 40 qui n'ont pas hésitées à se délocaliser et mettre des milliers de familles à la rue. Ces 211 milliards d'euros auraient pu servir pour les hôpitaux, les éhpads, les écoles, le logement, pour enrailler la précarité et la pauvreté dans notre pays. Mais non cet argent est allé directement dans la poche des riches qui n'ont pas besoin de cet argent qui est redistribué à des actionnaires qui ne sont pas dans le besoin. Il faut demander aux entreprises du CAC 40 de rendre cet argent au français.

Mr Bayrou veut aussi nous interdire de nous soigner quand on est malade. Un comble. 7 jours de carence pour nous et 1 jour pour les fonctionnaires. Une honte, comme d'habitude on tape sur les plus faibles. Dans la fonction publique, un jour de carence est appliqué lors d'un arrêt maladie, ce qui signifie que le premier jour d'arrêt n'est pas rémunéré. Cette règle s'applique aux fonctionnaires depuis le 1er janvier 2018. Dans le secteur privé jusqu'à aujourd'hui 3 jours de carences sont appliqués, recherchez l'erreur, déjà depuis 2018 les salariés du secteurs privé étaient pénalisés par rapport au secteur du service public. Et maintenant Bayrou veut encore plus nous massacrer en réformant les arrêts maladies du secteur privé et instaurer une carence de 7 JOURS. Toujours plus de privilèges pour le secteur pubic et un massacre à la tronçonneuse pour les salariés du privé. Les salariés cotisent plein pot pour être remboursé une misère pa la sécurité sociale, et on instaure l'AME payée par les français pour des prises en charges totales à 100% à des personnes étrangèrs souvent en situation irrégulière. Les crédits de l'AME de droit commun votés en 2017 s'élevaient à 772 millions d'euros. En 2023, les dépenses d'AME s'élèveraient à 1 141 milliards d'euros euros ce qui représente une hausse très significative de + 47,8 % depuis 2017. Pour l’année 2024, les crédits prévus par la loi de finances initiale s'élevaient à 1, 208 milliards d’euros, selon le ministère du budget et des comptes publics. L'Etat supprime aux français le droit d'être malade et de se soigner malgré qu'ils cotisent plein but, mais l'Etat accepte que des étrangers en augmentation fulgurante viennent se soigner gratuitement chez nous sans payer 1 centime. On marche sur la tête, tous ces milliards d'AME qui incitent tous les étrangers du monde entier à venir se soigner devraient être utilisés pour les français qui se saignent à blanc et qui sont obligés d'avoir une mutuel qui leur coute si cher que certains ne peuvent même pas aller voir un médecin. C'est un comble quand même, c'est notre argent, c'est à nous de profiter des soins qui nous sont dûs légitimement. Mais jusqu'où l'Etat va-t-il aller. De quel droit l'Etat s'autorise ce genre d'initiative contraignant les malades à mourir dans leur coin. Y'en a marre nous sommes des esclaves. Déjà que nous sommes étouffés par les taxes et les impôts, oui étouffés car nous sommes le pays le plus taxé au monde. Et là on nous interdit d'être malade. Quand je vois les rémunérations et les privilèges des politiques qui ne veulent pas faire un seul effort alors qu'ils ont mis la France en faillite je suis écœurée. Ce sont eux qui ont mis en faillite la France en vidant les caisses de l'Etat sans aucun scrupule, et d'ailleurs malgré la faillite ils continuent à pousser la France dans le mur. Mais ça ils s'en fichent car il y a les gueux qui payent. Ils nous saignent à blanc, il faut que ça s'arrête, ces politicards devraient rembourser tous leurs privilèges indécents ainsi que tous leurs salaires car ils ont détruit la France. Ils ont oublié qu'ils sont normalement au service du peuple français, et qu'ils ne doivent pas faire ce qu'ils veulent sans l'accord du peuple qui est le seul souverain. Ils se prennent pour des rois. Mais ils ont également oublié la REVOLUTION françaises qui a aboli les privilèges le 4 AOUT 1789. Ces politiques ont spolié les français de leur pouvoir de souveraineté. Normalement pour des décisions importantes il doit y avoir un référendum populaire. Mais tous ces gouvernements successifs ne nous donnent pas la parole car ils ont peur de perdre leurs privilèges. Les français en ont marre de ces pantins qui se fichent de nous, et qui votent des lois qui les avantages et qui désavantages les français. Ils se servent de notre argent à leurs guises.
C'est un comble. Il faut que les français disent STOP, il faut allez voter dans le bon sens. On ne veut plus ni voir ni entendre les discours de bla bla bla. Ils ont vidé les caisses c'est à eux de rembourser. Pas à nous. STOP à leur politique d'austérité qui appauvri les français. Qu'ils tapent dans leurs économies qu'ils ont fait sur notre dos.

En fait l'Etat et tous ces politiques nous considèrent comme des esclaves, puisqu'on travaille comme des esclaves et qu'ils nous prennent tout, en nous demandant de faire encore plus d'effort afin qu'ils conservent leurs trains de vie et leurs conforts sur notre dos. Ils se prennent pour des ROIS, comme avant la Révolution Française, mais Le deuxième décret de l'abolition de l'esclavage en France a été signé le 27 avril 1848 par le Gouvernement provisoire de la Deuxième République. Après la Révolution Française, La nuit du 4 août 1789 est la séance de l'Assemblée nationale constituante au cours de laquelle fut votée la suppression des privilèges féodaux. La loi existe depuis 1789, pas besoin d'une nouvelle loi pour supprimer les privilèges et avantages faramineux des politicards qui ont détruits la France. Mais malheureusement cette loi n'est pas respectée puisque ces politiques profitent de privilèges monstrueux et indécents avec l'argent des français surtout en période de faillite de la France. Faillite qu'ils ont créé sans l'accord des français. Il faut supprimer tous les avantages et privilèges de tous les hommes et femmes d'Etat et ramener leurs salaires à 2000 Euros brut maximum et les faire cotiser à l'ASSEDIC et supprimer les salaires à vie, s'ils ne sont plus au service de la France ils doivent toucher le chômage dans les mêmes conditions que dans le privé. Terminer les passes-droits, stop à la vie de chateau sur le dos du peuple. Je rappelle que les élus de l'Etat sont élus par les français afin de les représenter. Donc ces politiques sont normalement au service du peuple français et ils doivent faire en sorte d'exécuter les demandes des français qui sont en quelque sorte les patrons de tous ces politiques. Les politiques pensent qu'ils sont nos patrons, mais non ce sont les français qui rémunèrent tous ces politiques donc c'est bien le peuple l'employeur et non pas l'inverse.

La nuit du 4 août 1789 Abolition de tous les privilèges. Assemblée Nationale : Les décrets des 4, 6, 7, 8 et 11 août 1789, également connus sous le nom de décrets d'août, sont un ensemble de 19 articles adoptés par l'Assemblée nationale constituante pendant la Révolution française (1789-1799), qui abolirent le féodalisme en France et mirent fin aux privilèges d'exonération fiscale des classes supérieures.

En résumé, Bayrou veut supprimer tous les acquis des français, mais il ne veut surtout pas toucher aux salaires, aux privilèges et aux avantages des politiques. Par contre il relance le débat sur le cumul des mandats des politiques parce qu'il veut rester Maire de PAU tout en étant premier ministre, afin de cumuler les revenus, les privilèges et les avantages ainsi que les retraites dorées. Voilà les économies que le premier ministre veut faire sur les politiques. Aucune économie bien sûr, plutôt des avantages à gogo en plus sur notre dos. Que ces politiques vendent leurs patrimoines et leurs acquis qu'ils ont eu grâce à l'argent du peuple français pour rembourser la dette et boucher le trou béant qu'ils ont fait dans les caisses de l'Etat. Car ce sont eux les responsables pas nous. On ne va pas payer pour leurs erreurs. Ils se prennent pour des rois et ils nous prennent pour des gueux. Maintenant ça suffit, STOP AUX ABUS DE POUVOIR. Il faut que le peuple français reprenne le pouvoir car il est le seul souverain. Et les politiques sont aux service du peuple et non l'inverse.
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Céline - Le 25/07/2025 à 18:50:29
les rois faisait déjà pareil alors pourquoi ILS se priverait tous ces pique assiette ?

il faut une vraie démocratie auquel le peuple devrait avoir des regard sur le pouvoir .
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Maureen - Le 26/07/2025 à 22:57:15
Comment ne pas signer…honte au gouvernement.
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