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Geneviève Mercier d'après un texte de Manuel Gomez - Ecrivain
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Mrs et Mmes les députés - Mrs et Mmes les sénateurs - Mrs les maires de l'opposition
La pétition
Vouloir commémorer cette date comme la fin d'une guerre que nous avons honteusement perdue alors que nous étions vainqueurs sur le terrain est insensé.
Combien faudra-t-il encore pour que nos dirigeants comprennent ?
Des rapports officiels révélés récemment rapportent qu'après le 19 mars 1962, des centaines d'êtres humains ont été réduits à l'esclavage dans des mines de fer et de nombreuses femmes livrées comme chair à soldat dans les bordels militaires. Cette date marque pour certains la fin des hostilités alors qu'il n'en est rien car les tueries, enlèvements, assassinats et massacres ont continué encore plus virulents.
Par ces accords, le gouvernement français a décrété un "cessez-le-feu" unilatéral et a ainsi donné permission à nos ennemis d'assassiner des militaires et des civils français en toute impunité !
Dès le jour même, le 19 mars et suivants, 18 jeunes soldats ont été assassinés par le FLN et 39 ont été blessés qui, pour la plupart décéderont dans les jours qui suiven. 90 autres ont disparu et les 239 retenus prisonniers par l'ALN n'ont jamais été rendus : ils rejoignent ainsi les 1.165 civils assassinés et les 1.773 disparus dans les semaines qui ont suivi ce 19 mars 1962, sans compter les plus de 60.000 harkis et leurs familles, mutilés, exécutés massacrés.
Cette date est un mensonge et veut cacher une réalité, ce que nous ne pouvons accepter : voilà pourquoi il ne faut pas fêter le 19 mars 1962 en France, par respect et en mémoire de tous ceux qui sont morts après cette date.
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