Note de Christine Tasin
Sans surprise, amis lecteurs, vous aurez noté l’importance de la mondialisation. Il est clair que la Covid sert avant tout à rendre les Etats et les économies interdépendantes, afin de continuer, plus que jamais à voguer vers un monde sans nations, vers une gouvernance mondiale… faite des décideurs, des grands patrons, donc des fonds de pension… « biens communs mondiaux », « les coopérations mondiales et régionales »…. et ils annoncent carrément un objectif, « réformer les systèmes » (tremblez, bonnes gens) et la « gouvernance mondiale sans la nommer en écrivant noir sur blanc que 1500 leaders (des chefs d’Etat élus, certes, mais en minorité mais aussi des présidents d’organisations internationales vont décider « le programme de l’année ».
Quid des peuples ? Quid des élections ? Pas de consultation, pas de référendum… Vous avez élu Macron il y a 3 ans, il va décider sans notre accord de s’engager au niveau mondial dans toutes les impostures climatiques ou sanitaires, sans parler de la crise économique, de la crise financière.
Moi, j’attendrais d’un homme d’Etat, d’un Président, une causerie au coin du feu propre à générer des débats, un referendum.
Or, l’esprit de Davos c’est exactement le contraire… Surtout ne pas consulter le peuple !
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