Pétition
5.204
signatures
Auteur :
Auteur(s) :
Le Bureau International Catholique de l’Enfance (BICE)
Destinataire(s) :
tous les internautes
40% des élèves français ont déjà subi une agression en ligne ou sur leur téléphone portable.
6% des élèves subissent des moqueries ou rumeurs de façon répétées sur le net ou leur smartphone. Dans ce cas, on parle de harcèlement sur internet.
Le cyberharcèlement, c’est :
- des intimidations, menaces, insultes, rumeurs répétées
- l’usurpation d’identité numérique, ou le piratage de compte
- la création d’un forum ou d’une page de discussion à l’encontre d’un camarade ou d’un professeur
- la publication de photos ou vidéos de la victime en mauvaise posture.
Nous voulons que chacun adopte des comportements responsables sur internet. Ni acteur, ni témoin silencieux, ni victime : à nous tous de changer la donne !
Adolescents, parents, éducateurs, professeurs, mobilisons-nous pour dire STOP au harcèlement sur internet.
Oui, je signe la charte d’engagement contre le harcèlement sur Internet et :
1. Je réfléchis avant de publier quelque chose sur Internet (est-ce que j’aimerais que l’on dise la même chose de moi ?),
2. Je ne poste pas ou ne partage pas des contenus – rumeurs, moqueries, injures, menaces… – qui peuvent faire du mal aux autres, quel que soit leur âge, même sous un pseudo,
3. Je suis conscient(e) qu’il est très difficile d’effacer complètement un contenu publié sur Internet,
4. La solution c’est d’en parler ! Si je suis victime ou témoin de harcèlement sur Internet, je décide de réagir, de ne pas (me) laisser faire et d’en parler à des personnes de confiance de mon entourage ou à un réseau spécialisé*,
5. J’appelle tous les utilisateurs des réseaux sociaux et les institutions à se mobiliser pour faire cesser cette nouvelle forme de violence dont souffrent des millions de jeunes dans le monde.
*En France : www.netecoute.fr au 0800 200 000
L’ensemble des signatures recueillies seront présentées au Comité des droits de l’enfant de l’ONU lors de sa Journée de débat général intitulée "Média, réseaux sociaux et droits de l’enfant" en septembre 2014.
Plus nous récolterons de signatures, plus nous pourrons peser auprès des grandes institutions internationales pour un internet plus sûr, des systèmes d’alerte plus simples et plus rapides.