Ce que les médias appellent pluralité n'est que le spectacle d'une conversation de complaisance entre des acteurs qui fondamentalement servent la même thèse au public. Le rôle des médias se bornant à éviter les débats de fond comme le FREXIT, ou l’alimentation.
Comment expliquer que les médias publics, au nom de leur sainte pluralité ne donnent pas la parole aux projets politiques alternatifs. Aux analyses qui s'écartent un temps soit peu de la messe médiatique. Pourtant, la clef de la démocratie d'hier d'aujourd'hui et de demain relève essentiellement de la justice médiatique.
A l'heure où le peuple de France se donne à se représenter lui-même parce-que le scrutin universel à failli, et donc parce que le système démocratique à échoué à faire émerger le défenseur de l’intérêt du peuple de France, ce même peuple en se faisant Gilets Jaunes, se manifeste spontanément pour exiger d'avantage de démocratie.
Il ne peut pas y avoir de démocratie avec la confiscation de la parole. La démocratie suppose et exige la libre circulation des idées, et donc le libre droit à la parole.
Qui peut et doit répondre à cette demande?
La presse publique ! Elle a le devoir et l'obligation de donner le même temps d'antenne à tous les représentants de toutes les opinions publiques des lors où ces opinions se sont constitués en parti politiques.
Tous les partis politiques, du fait qu'ils représentent une part suffisante de l'opinion publique reçoivent une subvention.
Tous les médias publics, du fait qu'ils sont publics donc au service du public (d’où leur fonction dite de « service public ») reçoivent un financement public.
Le financement public des partis politiques et des médias de service public est prélevé sur le revenu fiscal de l’État. Autrement dit, ce sont les citoyens qui paient les services publics et financent une part non négligeable des partis politiques.
Les citoyens de toutes tendances politiques ont en commun l'idée de la pluralité démocratique. Mais comment faire exister cette pluralité démocratique si ce n'est par la médiatisation à égalité des visions, des idées et des alternatives politiques économiques et sociales ?
Pourquoi n'existe t-il pas un débat contradictoire et public sur le climat?Pourquoi n'existe t-il pas un reportage exhaustif sur le GIEC: Quel est réellement cet organisation? Qui la compose? Qui la contrôle? A quoi sert-elle?
La question de la taxe carbone est-elle fondée? La question de la nocivité du carbone sur le climat n'a jamais été débattue. Ne serait-il pas plus juste d'invoquer une "taxe pollution"? Et dans ce cas qui pollue?
Les choix économiques et industriel sont directement responsable de la pollution. Les usagers n'y sont pour rien, ils n'ont pas le choix. Peut-on ignorer ces questions pour engager une politique "démocratique" du climat?
Comment se fait-il que "la dette" ne fasse pas l'objet d'un débat contradictoire public?
La dette s'applique à un état dès lors où il abandonne sa souveraineté monétaire à la finance privée. Le but in-fine de la création de la dette pour un État, consiste à justifier la ponction du revenu fiscal vers ces mêmes financiers privés. La dette est conçue pour croître exponentiellement dès lors où l’État emprunte avant de solder l'encours. L'accroissement naturel de la dette justifie dans les esprits la précarisation du service public, afin que les politiques publiques de spoliation des citoyens, puisse s'appuyer sur une adhésion "démocratique" ...
C'est vrai ou c'est pas vrai?
Comment est-il acceptable que l' #UPR, 3eme parti de France n'existe pas du tout dans l'espace médiatique? Au point qu'on doive le considérer comme délibérément interdit de médiatisation. C'est au nom de la pluralité que #Asselineau est interdit d'Antenne? C'est à cause de l'idée du FREXIT? Cette idée à le droit d'exister dans l'espace médiatique de partout sauf en France?
Je propose une enquête journalistique sur ce sujet...
Pourquoi les analyses de Mrs Onfray, Asselineau, Gave, Todd, Chouard etc et autres économistes, sociologues, philosophes... Ne sont pas relayés par les médias publics?
Si leur vision est erronée, le débat permettra de le faire savoir aux citoyens de ce pays. Non?
La presse publique a le devoir de traiter à ÉGALITÉ de temps de parole tous les partis politiques. Elle en a le devoir mais ne le respecte pas.
C'est pourquoi elle devrait en avoir l'obligation par la loi.
Je lance ici un appel à tous les citoyens, à toutes les citoyennes, à tous les députés, à tous les responsables politiques.
Pour
La création d'une loi qui oblige les MÉDIAS PUBLICS à octroyer le même temps d'expression à tous les partis politiques qui reçoivent un financement public.