Obliger, punir, obliger, punir.
La France serait-elle prête à devenir une dictature ? Qu’a bien pu faire le peuple français pour mériter un tel traitement ? Depuis quelque temps déjà, les obligations émanant du gouvernement se multiplient.
Mon domaine est la psychologie de l’adulte et de l’enfant. Et je peux l’affirmer : personne ne grandit au même rythme.
Les bébés sont des êtres merveilleux et fragiles, qu’il n’est pas question de contraindre ou de forcer. Vouloir qu’un enfant devienne propre trop vite, qu’il gagne en autonomie trop vite – trop vite selon son propre rythme, pas selon une norme imposée – est extrêmement néfaste pour sa santé psychologique et émotionnelle.
On respecte l’évolution de l’enfant, on ne la dirige pas. On respecte les citoyens, on ne les commande pas.
Beaucoup de parents choisissent d’inscrire leurs enfants à l’école dès 3 ans. D’autres ne le font pas, parce que leur enfant n’est tout simplement pas prêt.
Françoise Dolto insistait déjà sur cette nécessité de respecter l’enfant, de ne jamais le placer dans une situation inadaptée à son développement.
Alors, que devons-nous imaginer demain ?
Des gendarmes venant retirer un bébé à ses parents pour l’emmener de force à l’école ?
Des parents incarcérés parce que leur enfant n’est pas prêt à quitter le cocon familial ?
Le gouvernement français serait-il prêt à institutionnaliser le rapt d’enfants au nom d’une loi insensée ?
Soyons raisonnables !
Et cessons de promulguer des lois de plus en plus absurdes et déconnectées du terrain. Nous refusons de devenir une dictature.
Notre pays est civilisé, nos psychologues sont qualifiés, et leurs conseils doivent être entendus.
La famille est la mieux placée pour prendre les décisions concernant les enfants.
Les parents connaissent leurs besoins, leur évolution, leurs fragilités. Le prétexte d’éviter les « inégalités » est une justification simpliste pour une décision qui, en réalité, porte atteinte à la liberté des familles.
Les droits de l’Homme ne doivent pas être bafoués. L’État ne peut se substituer à la famille dans les décisions qui concernent les enfants.
Faire l’inverse, c’est entrer dans une logique autoritaire, que notre pays a connue lors des heures les plus sombres de son histoire.
Nous demandons donc solennellement que cette loi soit abandonnée.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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