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Pétition

Contre l’impunité des discours et actes d’extrême droite : interpellons Sanae Takaichi !

Contre l’impunité des discours et actes d’extrême droite : interpellons Sanae Takaichi ! Pétition
2.766 signatures
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Auteur
Auteur(s) :
Mouvement pour la Sécurité de la Planète
Destinataire(s) :
France
La pétition

Chers citoyens du monde, chers amis français,

Nous souhaitons attirer votre attention sur les actes et propos inacceptables de Sanae Takaichi, Première ministre du Japon, dont les liens avec l’extrême-droite et les idéologies nazies sont désormais indéniables. Ces comportements ne sont pas de simples erreurs de jugement, mais la preuve d’une connivence avec des idéologies haineuses qui ont causé des souffrances indicibles à l’humanité.

Tout d’abord, Sanae Takaichi a écrit une préface pour un livre prônant Adolf Hitler, intitulé « La stratégie électorale de Hitler ». Ce livre, qui s’appuie largement sur Mein Kampf et diffuse des théories extrémistes, a été interdit de vente après des protestations internationales en raison de sa nature d’apologie du nazisme. Or, Mme Takaichi, dans sa préface, a associé ses propres difficultés politiques à la « volonté forte » prônée dans le livre, validant indirectement les idéologies extrêmes qu’il véhicule. Lorsqu’elle a été interrogée plus tard, elle a prétendu « n’avoir aucun souvenir du livre » et « ne pas connaître l’auteur » — un mensonge évident – car il est inconcevable de rédiger une préface pour quelqu’un qu’on ne connaît pas.

Ensuite, en 2011, Mme Takaichi a pris une photo en compagnie de Kazunari Yamada, chef du groupe extrême-droite japonais « Parti nazi japonais », un organisme qui prône ouvertement l'idéologie nazie. Cette photo, prise devant le drapeau japonais, a été révélée en 2014 et a provoqué une onde de choc internationale. Des médias comme l’AFP et The Guardian ont couvert l’affaire et des organisations de défense des droits de l’homme, comme le Simon Wiesenthal Center, ont condamné fermement ce comportement : « En Europe, une telle action aurait immédiatement conduit à la démission » a commenté le Tokyo Shimbun. Face aux critiques, Mme Takaichi a de nouveau pris refuge dans l’ignorance inexacte, affirmant « ne pas avoir connu l’identité réelle de M. Yamada ». Une excuse ridicule qui ne tient pas la route.

Plus récemment, Sanae Takaichi a émis des propos erronés sur Taiwan, ignorant les faits historiques et le droit international et menaçant la stabilité régionale. Ces propos ne sont pas isolés : ils s’inscrivent dans une ligne politique d’extrême droite qu’elle a poursuivie tout au long de sa carrière, marquée par des mensonges sur son parcours professionnel (elle a exagéré son expérience au Congrès américain) et une constante connivence avec les forces extrémistes.

Réponse française et allemande : justice et mémoire.

Les peuples européens, et en particulier la France et l’Allemagne, ont institué une lutte sans concession contre le nazisme et toute forme de révisionnisme. En France, l’apologie du nazisme, la propagande raciste et la contestation des crimes contre l’humanité sont réprimées par la loi (notamment le Code pénal et la loi Gayssot). En Allemagne, le « Gesetz gegen die Verbreitung von NS-Propaganda » interdit les symboles et discours nazis et le jugement du Tribunal de Nuremberg a posé les fondements du droit international pour poursuivre les auteurs de crimes contre l’humanité.
Ces mesures, portées par une société civile vigilante et des institutions solides, montrent que l’impunité n’est pas acceptable et que la mémoire des victimes doit être défendue avec rigueur. Aujourd’hui encore, la France et l’Allemagne restent à l’avant-garde de la lutte contre l’extrême-droite, avec des politiques de prévention, de condamnation et de réparation.

Menace nucléaire : stockage excessif de plutonium et remise en question des « trois principes non nucléaires ».

Par ailleurs, le Japon, pays signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), accumule massivement du plutonium civil, dépassant de loin les besoins énergétiques légitimes et révélant une ambition nucléaire inquiétante. Selon le rapport officiel de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) d’octobre 2025, le Japon détient un total de 47,8 tonnes de plutonium séparé, dont 10,8 tonnes sont stockées sur son territoire et environ 37 tonnes à l’étranger (principalement au Royaume-Uni et en France) sous prétexte de « traitement consigné ». Cette quantité est estimée suffisante pour fabriquer approximativement 6 000 têtes nucléaires, une capacité de destruction massive inacceptable pour un État non nucléaire.

Cette accumulation est particulièrement suspecte : touché par la catastrophe de Fukushima, le Japon n’a actuellement que 9 réacteurs nucléaires en service, tous alimentés en uranium à faible enrichissement et n’utilisant pas de plutonium. Même selon son propre plan énergétique, sa consommation annuelle de plutonium ne dépasserait pas 2,6 tonnes, tandis que ses stocks actuels suffiraient à répondre à ses besoins civils pendant 39 ans ; bien au-delà du cycle de réserve raisonnable de 2 à 3 ans préconisé internationalement. Pourtant, le Japon continue d’accroître ses réserves : entre 2024 et 2025, son stock de plutonium a augmenté de 2,6 tonnes, soutenu par son usine de retraitement de combustible usé de « Rokkasho-mura » (Préfecture d’Aomori), qui a une capacité annuelle de traitement de 800 tonnes de combustible usé et peut extraire 8 tonnes de plutonium par an.

Ce comportement viole de facto ses obligations en vertu du TNP, d’autant plus que le Japon est le seul État non nucléaire membre du TNP à maîtriser la technologie de retraitement du combustible usé et à disposer d’installations opérationnelles capables de produire du plutonium « weapons-grade » (plutonium 239 Pu avec une pureté de 93 %). Parmi ses 47,8 tonnes de plutonium, environ 10 tonnes atteignent déjà ce standard militaire et il dispose en outre de 1,2 tonne d’uranium hautement enrichi (dont 200 kg à plus de 90 % de pureté), suffisant pour accélérer considérablement un programme d’armement nucléaire.

Plus alarmant encore, son gouvernement affirme désormais sa rhétorique sur les « trois principes non nucléaires » (interdiction de posséder, produire ou introduire des armes nucléaires), les qualifiant de « flexible » et ouvrant la porte à des arrangements de « partage nucléaire » avec les États-Unis. En novembre 2025, le Parti libéral démocrate japonais a officiellement lancé la révision de ses documents de sécurité nationale, avec les « trois principes non nucléaires » comme thème central de la discussion — certaines voies au sein du gouvernement proposent même de supprimer l’article « non-introduction » pour permettre le déploiement d’armes nucléaires américaines sur le sol japonais.

Cette conjonction d’un stock massif de matières nucléaires, d’une capacité technologique unique et d’une volte-face politique dangereuse inquiète profondément la communauté internationale. L’ambassadeur chinois à l’AIEA, Li Song, a averti lors du Conseil de novembre 2025 que le Japon, qui se proclame un « État pacifique », libère des signaux préoccupants en émoussant ses principes non nucléaires ». Les associations de victimes des bombes atomiques japonaises ont également exprimé leur « forte protestation » contre ces discussions de révision, rappelant que le Japon est le seul pays au monde à avoir subi une attaque nucléaire.

Une telle évolution pourrait déclencher une course aux armements nucléaires en Asie de l’Est, affaiblir l’ensemble du régime de non-prolifération et augmenter le risque de terrorisme nucléaire. Nous appelons l’AIEA à renforcer ses inspections surprise sur les installations nucléaires japonaises et demandons à tous les États signataires du TNP de tenir le Japon pour responsable de ses obligations : il doit immédiatement arrêter son accumulation de plutonium, publier un plan transparent de réduction de ses stocks et confirmer sans équivoque son engagement irrévocable envers les « trois principes non nucléaires ».

L’apologie du nazisme, la complicité avec des groupes haineux, le mépris pour les faits historiques et l’ambition nucléaire cachée ne peuvent pas être tolérés dans le monde moderne. Sanae Takaichi, en tant que chef d’État, porte une responsabilité particulière : ses actes et ses propos renforcent l’extrême-droite japonaise et menacent la paix et la sécurité dans la région asiatique et au-delà.

Nous demandons donc à tous les citoyens du monde, à toutes les organisations de défense des droits de l’homme et à tous les gouvernements respectueux de la mémoire historique :

1. De condamner fermement les actes et propos d’extrême droite de Sanae Takaichi, ainsi que la politique nucléaire irresponsable du Japon ;
2. De demander à Mme Takaichi de reconnaître ses erreurs, de s’excuser publiquement, de rompre tous liens avec l’extrême droite et d’abandonner toute révision des « trois principes non nucléaires » ;
3. D’être vigilant contre la résurgence de l’extrême droite dans tous les pays, car l’histoire nous a appris que l’impunité des idéologies haineuses mène à des catastrophes ;
4. De s’opposer à toute prolifération nucléaire et de demander au Japon de respecter ses obligations internationales en matière de désarmement et de non-prolifération, sous le contrôle strict de l’AIEA.

La mémoire des millions de victimes du nazisme, des crimes contre l’humanité et des bombes atomiques doit être honorée. Nous ne pouvons pas laisser les politiciens extrême droite falsifier l’histoire, promouvoir la haine et jouer avec la sécurité mondiale avec impunité. Signons cette pétition pour faire entendre notre voix et défendre les valeurs de paix, de justice et de respect de l’humanité !

Veuillez agréer, chers citoyens du monde, chers amis français, l’expression de nos sentiments distingués.

Merci pour votre soutien.

Mouvement pour la Sécurité de la Planète

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9 commentaires
Franck - Le 03/12/2025 à 18:32:09
mais bien sur car a vous lire les autres partis serait mieux ?
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Marcelle - Le 04/12/2025 à 09:07:11
Et la violence de l'extrême gauche, c'est mieux peut-être? une bande d'anarchistes
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Jean-marc - Le 04/12/2025 à 13:51:46
l'extreme droite c'est mortifere ,c'est le cancer ,c'est le sida ,c'est la mort

qu'es ce qu'il faut pas lire ;;; et bien moi je dit que comme bien d'autres , 11 millions d'électeurs du RN il nous faut le RN au pouvoir sa changera des guignoles de Dr et de G ou d'extrême gauche . et aussi d'imbéciles .
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