LES DEGATS PSYCHOLOGIQUES DU CONFINEMENT ONT-ILS ETE MESURES ??
Le confinement n'est en effet pas le même entre ceux qui sont dans un 150 m2 et ceux qui ont 25 m2 et ceux qui ont un jardin par rapport à ceux qui subissent un enfermement dans 25m2, avec des enfants.
Gare aux dommages collatéraux. En pleine pandémie de Covid-19, une équipe de chercheurs britanniques met en garde les dirigeants de la planète face aux effets potentiellement "dramatiques" des mesures de confinement imposées pour freiner le coronavirus. En France, un tel dispositif est entré en vigueur, mardi 17 mars, à midi, pour une durée minimale de quinze jours – sans que la question de l'impact sur la santé mentale ait été clairement posée.
Dans un article publié le 14 mars dans la revue scientifique The Lancet (en anglais), sept membres du département de psychologie du King's College de Londres préviennent : "Les bénéfices potentiels d'une quarantaine massive et obligatoire doivent être évalués avec précaution au regard des possibles coûts psychologiques." Autrement dit, il ne faudrait pas que la lutte contre l'épidémie donne naissance à une autre épidémie, moins visible, touchant directement les esprits. "Il ne s'agit pas non plus d'exclure tout confinement", précisent-ils.
Des pays ont choisi des solutions moins brutales : la corée du sud, les pays-bas, la norvège, la suède. La France confine en raison de ses politiques publiques désastreuses en matière de santé publique, autrement dit, il n'y a pas assez de lit de réanimation pour accueillir de potentiels personnes gravement atteinte. Il n'y a AUCUNE AUTRE RAISON au confinement, que celle-ci.
Les Français doivent-ils "payer" une note lourde pour ces errements politiques ?