Les débats durent, s'éternisent, pendant que la guerre continue de faire rage, les victimes de s’amonceler. Par la force, la violence, Israël a démontré tellement de fois que des deux pays, c'est bien contre elle qu'il faut se révolter, se soulever par vagues. Il faut être humain, non musulman, pour voir que ses crimes doivent être punis. Si je ne m'abuse, les SS - durant la Seconde Guerre Mondiale - ont bien été jugés lorsque l'Allemagne est tombée, alors pourquoi personne ne fait-il rien pour la populace de Gaza qui subit à répétition les assauts de l'armée israélienne ? Oui il y a les lobbys, oui il y a toutes ces histoires de politique, mais on est des humains, non ? On EST les peuples qui peuvent opérer des changements, c'est à nous de faire bouger les choses, alors pourquoi n'agissons-on pas ?
Donc voilà, il y a quelques mois, j'ai lu des trucs à propos de cette guerre, ça m'a profondément choqué, révolté, je me rappelle aussi que j'ai pleuré - et comment ne pas le faire ! Conclusion, j'aimerai partager ces "découvertes" avec vous pour que vous sachiez ce qui, entre autres événements horribles, me pousse à lancer cette pétition - pour information, ça parle du génocide de Sabra et Chatila et voici les deux témoignages de survivantes au massacre :
(!) âmes sensibles s'abstenir (!)
"Ils ont pris d'assaut le camp à 5 heures et demi du matin, Vendredi 17 Septembre. Au début, nous n'entendions aucun coup de feu, les coups étaient portés par haches et par poignards. Ils enterraient les gens vivants par dragage. Nous nous sommes enfuis en courant, pieds nus, avec les coups de feu qui nous poursuivaient. Ils ont massacré mon mari et trois de mes enfants ; l'un d'eux a été brûlé après qu'ils lui aient arraché le pied, et j'ai trouvé le troisième ventre ouvert. " Oum Ghazi Younes Madi.
"Mon mari et mon fils ont été tués, et le plus atroce tableau auquel j'ai assisté fût de voir notre noble voisine Mounira Amrou mourir par leurs mains après qu'ils aient tué son enfant nouveau-né sous ses yeux. Il était âgé de quatre mois." Samira Kacem Bachir.
Deux témoignages, c'est tout ce que j'envoie.
Je ne parle pas des femmes violées, des gens pendus, des hôpitaux et maisons, tout, absolument tout détruit.
Je ne parle pas des larmes, du déchirement.
Je ne parle pas du silence des grands.
Je ne parle pas.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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