Le 02/03/2019 dans la soirée, le chat d’habitants d’EGREVILLE a été laissé pour mort écrasé par un automobiliste sur la RD30A reliant JOUY à EGREVILLE à hauteur du hameau du ruth.
Avant ces faits, il a été constaté chaque jours que la plupart des automobilistes ne respectent pas la limitation de vitesse plafonnée à 50km/h.
La RD30A traverse le ruth sur une longueur d’environs 200 mètres.
Seul un virage en direction d’EGREVILLE oblige les automobilistes à ralentir très légèrement, ce qu’ils font mais accélèrent aussitôt en sortie de ce dernier.
Il a également été constaté à plusieurs reprises qu’en rentrant dans le ruth depuis ce virage, les automobilistes accéléraient également alors qu’ils se trouvaient encore en agglomération.
Une minorité d’automobilistes respecte la limitation de vitesse.
Une lettre simple adressée à monsieur POMMIER maire de la commune était remise directement dans la boîte aux lettres de la mairie d’EGREVILLE pour signaler les faits.
Cette lettre mentionne également qu’à une époque, plusieurs habitants du ruth avaient signalés le problème à la mairie, notamment en signant une pétition pour demander d’installer des ralentisseurs ( un à chaque extrémités du hameau sur l’axe RD30A).
La seule réaction de la mairie était d’installer un radar pédagogique qui ne fonctionne même pas ( panneau lumineux affichant les vitesses des véhicules, clignotant en rouge lorsque les véhicules dépassent la limitation ).
Or, ce radar pédagogique a fonctionné quelques temps après la lettre reçue par le maire, ce radar pédagogique ne fonctionne plus à nouveau...
A l’issue de ce courrier nous constatons qu’à ce jour aucune réponse concrète du maire d’EGREVILLE ne nous est parvenue.
C’est dans ce cadre que nous lançons une pétition à l’encontre de Monsieur POMMIER, maire de la commune d’EGREVILLE (77620) afin de demander qu’il exige auprès du département de la Seine et Marne ( vu qu’il s’agit d’une route départementale ) de faire installer au plus vite des ralentisseurs aux abords du hameau du Ruth, et d’étudier éventuellement la mise en place de radars automatiques répressifs sur les axes les plus dangereux situés dans la commune, et de ne pas oublier les hameaux présentants le même problème.
Aujourd’hui un chat est mort, demain le même sort peut arriver pour un enfant.
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