NB: S'il vous plaît, après signature de la pétition, je vous remercie de bien vouloir prendre 2 minutes pour partager celle-ci dans vos réseaux et groupages afin qu'elle puisse être vue par le plus grand nombre. Vous vous en doutez, elle ne va pas être mise en avant donc il n'y a réellement que les partages qui la feront connaître et ensuite, pourquoi pas, monter jusqu'au bureau du Comité Nobel Norvégien.
Non à l'attribution du prix Nobel de la paix à Volodymyr Zelensky.
Pour comprendre le conflit, il faut remonter à la chute de l'URSS : les nombreux pays formés en Europe de l'Est sont des tout nouveaux pays, sans aucune histoire, car ayant toujours été russe.
Ces pays, d'abord très proche (économiquement/idéologiquement...) de la Russie, sous la pression des États-Unis, sont contraints de s'éloigner de celle-ci, ce n'est, dans un premier temps, pas le cas de l'Ukraine et de la Biélorussie, qui résistent, et conservent leur liens.
À côté, se forme l'OTAN, une alliance militaire défensive, qui a pour but de maintenir la paix dans le monde. Cette alliance est défensive, et a donc besoin d'un ennemi, qu'elle cherche dans la Chine, puis dans la Russie.
Des accords sont donc passés entre l'OTAN et la Russie, et celle-ci obtient la garantie que l'OTAN ne s'étendra pas plus vers l'est. Pourtant, de mars à juin 1999, l'OTAN bombarde la Serbie, allié à la Russie, et aucune raison n'est donnée à cet acte. En 2000, lorsque Poutine accède au pouvoir, il souhaite conserver une ligne de collaboration entre la Russie et l'Occident, et après l'attaque des tours jumelles, en 2001, la Russie propose son aide au États-Unis pour résister contre le terrorisme, mais les États-Unis les envoient balader, ce qui est pris comme une provocation de la part de la Russie.
En 2004, L'OTAN intègre les pays Baltes, en brisant les accords avec la Russie. Les Russes protestent, mais, une fois de plus, les États-Unis les envoient balader, en installant des bases militaires, des lance-missiles, des bases aériennes en Europe de l'Est, brisant une nouvelle fois les accords.
En 2008, l'Otan commence à parler de l'intégration de l'Ukraine et de la Géorgie, et en août, la Géorgie lance son armée, armée par les pays de l'Otan, et très largement soutenue, économiquement et militairement par l'OTAN à l'assaut de la République sécessionniste d'Ossétie du Sud, encore Russe. C'est donc la première réelle intervention armée qui a conduit à la guerre, organisée par l'OTAN... Ironie de l'histoire que ce soit la Russie qui soit le grand coupable.
En 2014, la révolution orange de 2014 (renversant le président Ukrainien prorusse) est très largement soutenue par les États-Unis, et les pays membres de l'OTAN. S'en suit des centaines de milliers de victimes Ukrainiennes prorusse ( Blessé compris), ainsi que, malgré le manque de preuve formelle (mais basée sur des témoignages, ainsi que d'étrange coïncidence), l'écartement continuel des potentiels président Ukrainien prorusse du pouvoir, par le biais d'assassinat et d'emprisonnement, par la CIA.
En 2021, les Russes demandent des garanties de sécurité à l'Otan, avec notamment le retrait des armes stockées dans les pays frontaliers de la Russie, et le renoncement de l'élargissement de l'OTAN, ce que les États-Unis refusent cordialement.
En 2021, 14 000 Ukrainien prorusse sont morts, sans l'indignation du président Ukrainien Volodymyr Zelensky. De plus, le gouvernement Ukrainien a vu très dernièrement des ministres néo nazi s'intégrer dans les sphères des ministères, ainsi qu'une influence accru d'organisation néo nazi sur le président. De cette guerre s'en sortent des enjeux économiques, notamment autour du gaz et de l'économie mondiale.
Les États-Unis ayant œuvré pour la fermeture du gazoduc Northream 2, soit disant pour des sanctions économiques, mais empêchant ainsi l'Europe d'être approvisionnée en gaz russe, en obligeant ainsi ces pays à acheter du gaz de schiste américain, en moyenne 2 à 3 fois plus cher, permettant de finir d'écouler l'économie européenne, déjà en difficulté. Les États-Unis gagnent donc beaucoup dans cette guerre, sur le dos de l'Europe.
La Chine, elle, prétend soutenir économiquement la Russie, mais, cette dernière ne commerçant plus ni avec l'Europe ni les États-Unis, ne possède plus que la Chine comme partenaire, qui se permet ainsi d'user de son monopole.
Mais voyant l'Ukraine tomber, la Chine peut pleurer, car ce pays produit 25% du blé que la Chine importe.
Ainsi, les grands gagnants sont bel et bien les États-Unis.
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