NON À LA TAXATION DES GREFFES D’ORGANES, LA VIE N’EST PAS UNE MARCHANDISE
Depuis plusieurs mois, dans le silence discret des cabinets ministériels (probablement sous l'impulsion d'Emmanuel Macron), une réforme aussi absurde que sinistre prend forme.
En effet, à partir de 2026, les greffes d’organes pourraient bien être soumises à taxation pour les receveurs.
On parle de “rééquilibrage budgétaire”, de “contribution solidaire aux frais médicaux”.
Mais derrière ces mots tièdes, c’est une logique glaciale qui se dessine : transformer l’urgence vitale en produit taxable.
Une greffe n’est pas un confort ni un caprice thérapeutique. C’est un combat contre la mort, une main tendue quand tout vacille. Et pourtant, ce que l’on murmure dans les couloirs du pouvoir, c’est qu’il serait “juste” que les receveurs contribuent davantage. comme si vivre devenait un privilège à financer...
Ils ne parlent pas d’optimisation fiscale, ni de taxation des bénéfices massifs.
Non, bien pire. Ils ciblent les corps. Les corps fragiles, dépendants, en attente.
Mais qu’est-ce qu’un pays qui pense la greffe comme une marchandise ?
Qu’est-ce qu’un État qui taxe la vie sans jamais oser taxer la fortune ?
Qu’est-ce qu’une société où la mort devient moins coûteuse que la guérison ?
Car la barbarie contemporaine ne dit plus son nom. Elle se glisse dans les amendements, les circulaires, les “réformes structurelles”. Et chaque mesure que nous acceptons sans hurler en prépare une autre, plus froide, plus violente. Aujourd’hui les greffes. Demain les soins chroniques, puis les accouchements etc...
Et à la fin, il ne restera que le silence des pauvres, sans recours ni greffe.
Ce que nous refusons ici, ce n’est pas un détail comptable. C’est une falsification de l’idée même de soin.
Nous refusons que :
le don gratuit soit repris comme un profit masqué ;
le corps devienne une variable fiscale ;
la médecine abandonne les vivants sur le bord du budget.
La solution ? Elle commence par le refus.
Par cette pétition, nous faisons barrage symbolique à cette absurdité.
Là où il faut croire que les élites, perchées et hors du réel, sont devenues incapables de saisir ce que le peuple, lui, voit d’un seul regard.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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