LE NUMÉRIQUE EST NOTRE FOYER COMMUN, ET ILS VEULENT ENFERMER LA PENSÉE.
Depuis plusieurs mois, un mouvement dangereux s’organise dans les coulisses du pouvoir français : l’idée d’interdire, restreindre, ou surveiller les plateformes libres comme Discord, Telegram, Signal, sous prétexte de sécurité ou d’ordre public. Mais derrière les grands mots, se cache une volonté claire : récupérer par la force ce qui leur échappe par le débat.
Discord n’est pas un simple outil de discussion. C’est un espace de construction, de débat, de révolte, de fraternité numérique.
C’est le dernier lieu où la parole se forge sans les chaînes de la propagande d’État ou des algorithmes commerciaux complices.
Et cela, le pouvoir ne le supporte pas.
Ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas ici d’empêcher la violence, mais l’indépendance. Ils ne veulent pas sécuriser, ils veulent soumettre. Leur idéal est un peuple silencieux, traçable, déconnecté de lui-même, prié de parler sur autorisation.
Mais qu’est-ce qu’un citoyen sans lieu pour penser, dialoguer, contester ? Qu’est-ce qu’une jeunesse privée de ses agora modernes ?
Qu’est-ce qu’un pays où les moyens de communication ne sont plus que des canaux de surveillance ?
Car la servitude volontaire commence toujours par l’acceptation d’un moindre mal. Et chaque plateforme que nous laissons fermer dans l’indifférence prépare la fermeture de la suivante. Aujourd’hui Discord. Demain Telegram. Puis Signal. Puis les forums. Puis les messageries.
Et à la fin, l’idée même qu’il est encore possible de parler hors du script.
La solution ? Elle commence par la résistance.
Par cette pétition, nous faisons acte de refus. Et si ce n’est qu’un mot, qu’ils se rappellent que toute révolution commence par un mot qu’on ne peut plus faire taire.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.