STOP à l'absentéisme dans la fonction publique : 15 milliards d'euros à récupérer !

Un scandale qui coûte 15 MILLIARDS d’euros…
… et que NOUS finançons !

Imaginez des services publics où l’on peut s’absenter 25, 30 jours par an, sans réel contrôle.
Imaginez des agents qui osent dire : « Il me reste 8 jours de maladie à prendre. »

Ce pays, c’est la France.

Chaque année, l’ABSENTÉISME dans certains services publics siphonne 15 MILLIARDS d’euros de NOS poches.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

• 14,5 jours d’absence pour maladie dans le public… contre 10,3 dans le privé. Soit +40 % !
  
  
  
• Le coût est IDENTIQUE à celui du privé (17 milliards)… alors que le public, c’est seulement 20 % des emplois.
  
  

Résultat : le secteur public coûte 4 fois plus cher en absences que le privé !

Et qui paie ?
NOUS. Ceux qui travaillent sans sécurité de l’emploi, sans congés bonifiés, sans primes d’assiduité pour… venir travailler !

• La rentrée scolaire : chaque septembre, mystérieusement, les arrêts explosent dans l’Éducation nationale.
  
  
• L’ouverture de la chasse ou de la pêche : comme par hasard, les absences se multiplient.
  
  
• Les “ponts” stratégiques : malades le vendredi… guéris le lundi.
  
  
• Autorisations spéciales : jusqu’à 12 jours d’absence accordés dans certaines collectivités (contre 4-5 dans le privé).
  
  
• Télétravail fantôme : officiellement derrière un écran, en réalité au jardin ou en balade…
  
  

• Essonne : 36,2 jours par agent et par an !
  
  
• Corse : 36,4 jours !
  
  
• Grand Est : 35 jours !
  
  
• Nord : 35,5 jours !
  
  

Près de 2 mois d’absence par an payés… avec NOS impôts.

En 2023, sur 2,5 MILLIONS d’agents publics de l’État… seulement 13 ont été licenciés pour incompétence.
Dans le privé ? Plus de 243 000 licenciements pour faute grave la même année.

Un agent public absent chronique ? Il garde ses primes.
Un comptable qui perd 50 000 € ? Mutation.
Un chef de service fantôme ? Réorganisation.

NOUS, on risque notre emploi pour une erreur.
EUX, ils risquent… une promotion.

Et pourtant, les solutions existent !

• En Italie : une réforme a DIVISÉ par 2 les absences.
  
  
• En France : le jour de carence chez les enseignants a fait chuter de 23 % les arrêts courts.
  
  
• Dans certaines collectivités : les contrôles ont réduit de 40 % les arrêts suspects.
  
  

Alors pourquoi continuer à payer ?

Nos exigences :

• Aligner le délai de carence public sur le privé : passer de 1 à 3 jours.
  
• Introduire une vraie rémunération au mérite : récompenser le travail, sanctionner l’absence.
  
• Contrôler les arrêts de complaisance, sanctionner les médecins complices.
  
• Renforcer les contrôles sur les absences suspectes.
  
• Supprimer les primes au-delà d’un certain seuil d’absences.
  
• Diminuer les primes dès le premier jour d’absence injustifiée.
  
  

350 000 salaires versés dans le vide chaque année.
15 milliards d’euros envolés.
Un système à deux vitesses, payé par VOUS et MOI.

Nous ne voulons plus financer les privilèges d’une minorité de profiteurs qui discréditent l’ensemble du service public.

Signez et partagez cette pétition pour exiger une réforme immédiate.
Imposons la fin de l’impunité et la mise en place de règles justes, équitables et efficaces.

Il faut choisir : être du côté de ceux qui travaillent… ou du côté de ceux qui profitent.