AUCUN PARTI POLITIQUE dans l’ASSEMBLÉE-CITOYENNE.
Le constat général du fonctionnement du pouvoir est celui d’un système DESCENDANT généralisé :
- Le président de l’Assemblée nationale constate qu’il est « nécessaire d’instaurer l’égalité entre les citoyens et les parlementaires » ... égalité qui n’existe donc plus chez ces « représentants » du peuple.
- Le président de la République avoue à la télévision une rupture avec le peuple.
- Jean Lasalle élu de terrain s’est insurgé dans l’hémicycle en constatant la censure dont il fait l’objet : son temps de parole est extrêmement réduit, car non encarté il ne peut utiliser le temps automatiquement dédié a chaque parti.
La maladie est donc structurelle : dans les deux cas, le système est aujourd’hui descendant, les chefs donnant attitude et directives a leurs troupes, le président comme les chefs de partis. L’assemblée des godillots majoritaires et des partis déconnectés est paralysée, inutile (!).
L’assemblée de 1789 représentait le peuple et portait sa parole : le flux originel était ASCENDANT. Le système des partis a inversé ce flux comme l’ont formulé les têtes de l’état. … De Gaulle l’avait déjà constaté en son temps.
Il est insupportable de continuer de perdre les demandes et décisions des citoyens. Il faut immédiatement inverser le flux pour porter à nouveau la parole du peuple. Le moyen est la suppression des partis à l’Assemblée nationale .
Et bien sûr leur non-existence au sein de l’Assemblée-Citoyenne :
À la grande table de la Maison France s’assoit chaque citoyen pour composer l’Assemblée Citoyenne.
Il laisse au vestiaire manteau et couvre-chefs, armes, religion, syndicat ou PARTI, profession...
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