La force du vent fait tourner les pales des éoliennes ; derrière la vitesse du vent s’affaiblît, les courants d’air aussi…
Ce phénomène pourrait être négligeable s’il n’y avait que des dizaines d’éoliennes mais aujourd’hui ce sont plus de deux millions d’éoliennes qui ralentissent les vents, donc les échanges thermiques entre mers, continents et haute atmosphère, sur toute notre terre provoquant d’abruptes poussées de chaleur et des déluges ailleurs.
L’éolien, c’est 1500 tonnes de béton par pylône, des kilomètres de câbles en cuivre et plastique pour les relier aux réseaux urbains, des transformateurs (il faut transformer le courant pour pouvoir l’intégrer sur les lignes haute tension), sans compter la défiguration de nos campagnes, la nécessité de faire tourner des centrales au charbon en cas d’absence de vent…
Arrêtons de dire que l’éolien est la panacée.
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