Monsieur le Président, convaincre les dirigeants politiques lors de la COP26 de donner à l’ONU de nouvelles sources de financement est un concept intéressant à explorer pour agir massivement contre le réchauffement climatique.
La lutte contre le fléau du réchauffement climatique coûte excessivement cher et c’est valable pour tous les pays. L’ONU peut largement les aider sans pénaliser le pouvoir d’achat et la dette publique.
L’ONU peut également répondre présent pour lutter contre les conséquences désastreuses du réchauffement climatique (tempêtes, inondations, sécheresses, montée de eaux…).
Ces nouvelles sources de financement de l’ONU paraissent utopiques, en fait elles le sont ! Pourquoi ? Au moins deux tiers des pays doivent trouver un terrain d’entente pour modifier l’organisation de l’ONU, actuellement on peut considérer cela comme une utopie.
Mais il s’agit ici de la lutte contre le réchauffement climatique et ses conséquences désastreuses, cet enjeu est suffisamment important pour faire bouger les choses plus rapidement.
L’idée n’est pas de révolutionner l’ONU, mais de réaliser un minimum de changements capable de faire évoluer son financement le plus simplement et rapidement possible.
Actuellement, le financement de l’ONU est assuré par la contribution de ses pays membres (ceux qui le peuvent), il n’est pas question d’augmenter leur contribution mais de trouver de nouvelles sources de financement.
L'origine de ces nouvelles sources s'explique grâce à une nouvelle vision de l’humanité et de notre belle planète bleue.
Les humains sous-estiment largement la valeur de la Terre, leur berceau !
Pour prendre conscience que la Terre a une valeur insoupçonnée, il suffit de la regarder depuis l’espace, elle est unique, elle possède la vie et son habitat. La Terre est un diamant vu de l’espace, en y vivant dessus on n’en a pas conscience.
La Terre appartient aux humains donc à l’ONU
L’espèce humaine a largement pris le dessus sur les autres espèces vivantes qui maintenant dépendent d’elle pour leur survie, la Terre lui appartient et l’ONU est la seule organisation internationale capable de représenter l’humanité.
Bon évidemment, cette nouvelle vision n’est pas là pour refaire l’organisation de l’humanité actuelle, surtout que l’ONU est relativement jeune par rapport à la plupart des pays, leur existence n’est pas remise en cause, la stabilité de l’ensemble reste primordiale pour maintenir la paix.
Par contre, quand il s’agira de gérer les autres planètes conquises du système solaire, ce sera différent et cela pour éviter les conflits spatiaux et guerres mondiales. L’ONU aura un rôle crucial à jouer même avant l’arrivée des premières colonies et leur future indépendance.
L’ONU pourra emprunter massivement des millions de milliards de dollars sur plusieurs siècles à sa future banque centrale et subventionner les pays membres grâce à sa monnaie internationale d’échange
Ces emprunts massifs de l’ONU sont évidemment réservés à la lutte contre les fléaux qui menacent la vie sur Terre, ils seront remboursés dans des millénaires lors de la conquête du système solaire et des richesses immenses qui le compose.
Si les pays peuvent offrir comme garantie leur réserve d’or et leur réserve de change, l’ONU s’appuie sur la planète Terre et la vie qu’elle héberge. Cela n’a pas de prix !
Ces subventions allouées par l’ONU éviteront aux pays d’avoir à s’endetter et à leur population de subir des hausses d’impôts ou de taxes.
La lutte contre le réchauffement climatique ne doit pas appauvrir les pays et leur population à cause de son financement. Grâce aux subventions de l’ONU, beaucoup de pays éviteront la faillite et les conflits internes qui peuvent en résulter.
En mettant en œuvre des moyens pharaoniques, la planète se réchauffera moins et le cadre de vie sera mieux préservé et réduira les migrations climatiques.
L’autre source de financement viendrait de la création d’une bourse du patrimoine naturel
Actuellement, les eaux internationales appartiennent à personne, dorénavant elles appartiendront à l’ONU représentant l’humanité. Les océans, les mers pourront être cotées et les bénéfices seront taxés pour financer les dépenses habituelles de l’ONU.
D’autres éléments du patrimoine naturel (montagnes, grands lacs…) pourront être également côtés avec l’accord des pays concernés géographiquement qui bénéficieront de revenus liés au prélèvement de taxes sur les bénéfices.
Evidemment tout ne sera pas parfait même avec la nouvelle méga-planche à billet de l’ONU, l’inflation et la raréfaction des ressources dues aux multiples chantiers planétaires représentent un danger à maîtriser absolument.
Il n’est pas question de provoquer des inondations monétaires donc de l’inflation avec ces subventions qui sans garde-fous peuvent faire plus de mal que de bien.
L’ONU aura à gérer la priorité des investissements selon l’urgence et la répartition des subventions allouées aux différents pays dans un souci d’équité face à ce grave fléau.
Les populations mondiales ne doivent pas souffrir de l’inflation liée à la raréfaction des ressources, leur pouvoir d’achat doit être maintenu en allongeant s’il le faut la durée de ces chantiers pharaoniques
Ce ne sera pas une mince affaire !
Monsieur le Président, la COP26 est l’occasion rêvée pour sensibiliser les dirigeants sur ces nouvelles propositions de financement de l’ONU qui peuvent aujourd’hui sembler utopiques car elles ne pénalisent ni les Etats ni leurs populations. Elles sont un bon moyen à explorer pour financer la lutte contre le réchauffement climatique qui lui n’est pas une utopie.
Philippe Ortolan - citoyen lambda
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