A la sortie de la COP26, il n'y a pas de quoi se réjouir pour l'avenir du climat.
Cet avenir du climat est devenu un marketing mercantile, afin de semer la panique, en rajoutant, à celle-ci, une communication trompeuse et mensongère, pour, hautement, rechercher, dans la complexité du « green waching » appelée aussi, "écho blanchiment". Ne ressemble-t-elle pas, ainsi, étrangement aux méthodes mafieuses… ? Ne trouvez-vous pas que ces actions qu’nduisent, directement, on le sait aujourd'hui, une dégradation manifeste et volontaire de ce climat de la part de ces sociétés en mettant "la vie d'autrui en danger" ?
Tandis que nous savons tous, que les gaz à effet de serre, augmentent le dérèglement climatique, ne peut-on pas qualifier d’extorsion, aux jeunes générations, aux adultes de demain, d'un climat tempéré vers un climat d'extrêmes qui génère et générera, encore plus, des inondations, des sécheresses, des incendies de forêts, des tempêtes et tout ce que l'on peut déjà observer à travers le monde. Ces phénomènes extrêmes, qui sont déjà devenus très puissants, aussi imposants que les différences de température grandissent de plus en plus...?
Les sociétés n'hésitent plus à utiliser tous les moyens pour arriver au gigantisme. D'un côté, les Chinois en fabriquant des éoliennes plus haute que la tour Eiffel, d'un autre, les Norvégiens veulent ériger de véritables murs flottants en pleine mer avec de multiples petites hélices qui peuvent tourner encore plus vite et captée plus d'énergie en faisant plus de dégâts, bien évidemment...(« Science et vie » octobre 2021). Ces murs créa également encore un piège incontournable pour l'avifaune...
Quelles que soient les décisions finales de ces débats, je Remercie toute l'équipe du comité national de débat public (CNDP), de la médaille virtuelle qui m'a été remis par Monsieur Étienne Ballan, président de la commission.
En effet, depuis le 30 août 2021 jusqu'aux 28 octobre, des débats et des ateliers en ligne, pendant plus de 5h00 par semaine, étaient organisés, sur l'installation des éoliennes flottantes offshore pélagiques dans le golfe du Lion. Autant où, au début des réunions, les intervenants, porteurs de projets, occupaient la majorité de durée dans ces échanges pour expliquer les projets. l'équipe de la CNDP a su mettre en valeur les arguments présentés par les associations environnementales. Je les remercie encore au nom de tous les animaux aussi bien, sous-marin qu’aérien.
Comme je l'ai souligné tout au long de ces débats, ces éoliennes offshores flottantes que l'on éloigne de la côte, comme de la saleté que l'on cache sous un tapis en balayant... Car « plus personne n'en veut ! ». Outre la beauté du paysage, elles sont néfastes à la santé publique aussi bien pour les humains que pour les animaux domestiques et d'élevage.
Il a été clairement expliqué, au début de ces débats, qu'il était indispensable d'être présent sur ce marché déjà exploité, fortement, par les Chinois et les Norvégiens, de telle façon qu'il faille rattraper le retard que la France a, dans ce domaine...
Il a été, très souvent, évoqué, par les associations environnementales, que les effets cumulés des activités humaines n'ont jamais été étudiées, scientifiquement, alors que la méditerranée est particulièrement impactée par la circulation des navires marchands, les ferry-boats, les bateaux de croisière, la grosse plaisance, et près des côtes, une multitude de petites plaisances, y compris les promenades touristiques en y incluant les pneumatiques de location et les touristes qui se défoulent sur des jets skis dérangeant la faune marine, avec des pratiques comme le"whale watching".
Ces effets cumulés sont également et plus particulièrement amplificateur pour la pollution sonore sous-marine et aérienne. En effet, la pression sonore, en s'accumulant de manière exponentielle, provoquent des surpressions à des fréquences inédites dans la nature... En conséquence, les essais qui seront faits avec quelques éoliennes ne pourront pas être représentatifs aux niveaux des impacts sonores.
De plus, la pollution sonore est néfaste pour la faune sous-marine, mais, également, elle empêche le développement des végétaux sous-marins, notamment la posidonie, un herbier qui stocke sept litres de carbone par jour et par mètre-carré en se développant par les rhizomes sous-marins... De fortes hypothèses sont également avancées concernant tous les végétaux subaquatiques, y compris le phytoplancton. Sachant que les océans capturent plus de la moitié des gaz carbonique, sur notre planète, tous les impacts de l'activité humaine, et de cette pollution sonore, influenceront défavorablement notre climat, que l'on prétend sauver grâce à ces éoliennes flottantes te offshores...(ref. bioacousticien Michel André, directeur du Laboratoire de bioacoustique appliquée à l’Université polytechnique de Catalogne (Espagne)). Ce manque de capteurs de carbone, est-il compté dans les chiffres remis par les scientifiques spécialistes en comparant les conséquences des gaz à effet de serre avec d'autres moyens de production de l'énergie ? D'ailleurs, j'ai constaté que, bien souvent, les chiffres donnés par les porteurs de projets ne sont pas toujours exacte et l'on peut se demander la véracité et la réalité de ces chiffres publiés dont les origines de ceux-ci sont floues. Je prend pour exemple, la remise officielle du comptage des grands dauphins en 2016, à laquelle j'ai assisté, et j'ai constaté que sur le comptage durant trois ans, il a été chiffré des dauphins "fantômes". Ce nom a été utilisé pour incorporer des individus dans les effectifs, alors qu'une seule observation avait eu lieu, au début de cette période, et que la maladie, la mortalité, les accidents ne pourraient pas exister, faisant monter, ainsi, la courbe additionnelle de la quantité de ces delphinidés!!! Ce genre, de travail est-il sérieux? Peut-on être certain de ces chiffres, alors que, ce genre d'erreurs est directement observable et prévisible?
*…….*Quels sont les effets néfastes, dans un premier abord, que les éoliennes flottantes & plantées offshores provoquent ils à la biodiversité aérienne et sous-marine ?
Il est simple, par réflexions de ces éléments physiques, que les parties, des éoliennes, en mouvement provoquent des réactions sur les éléments environnants. Particulièrement les vibrations sonores provoquant une série de surpressions et de dépression qui peuvent se transmettre très loin, autour des éoliennes, particulièrement sous l'eau, car cette dernière est incompressible!
Voici une première liste, non-exhaustive, qui demande à être plus précisément analyser avec attention sur les vibrations produites et amplifiées par les interférences sonores :
*Vitesse circonférentielle:300 km/h maxi, conséquence: perturbations aériennes et fardage :
Comme nous le démontre l'aérodynamisme, les profils en se déplaçant génère une surpression autour d'elle-même ce qui a pour effet d'éclater les poumons des chauves-souris qui s'en rapproche. Ainsi, elles meurent avant même de toucher la pale en question. C'est la raison pour laquelle on ne trouve jamais de traces de cadavres de ces chauves-souris. D'après les spécialistes et les associations, il retrouve les cadavres plus loin, ce qui indiquerait que la mort ne survient pas immédiatement, mais génère, ainsi, une souffrance, du fait que la mortalité ne soit pas instantanée.
Les pales génère également des vibrations à basse fréquence. or, on sait que les basses fréquences sonores se répandent à grande distance, elles génèrent, ainsi, une pollution sonore avec de grandes différences entre les surpressions et dépressions qui désoriente l'avifaune en migration. Cela est d'autant plus inquiétant la nuit, car le bout de ces pales n’est pas éclairé par une petite lumière rouge qui est présente en tête de mât. Ceci étant, ses lumières rouges pollueraient de façon visuelle les repères de ses oiseaux. Car n'oublions pas que la vitesse circonférentielle de 300 km/h, modifie, de façon importante, les références d'une évolution dans un espace en trois dimensions...
*Amplificateur à engrenage: cette série d'engrenages ont été conçus pour amplifier le mouvement de rotation de l'hélice pour faire tourner le plus rapidement l’alternateur et augmenté, ainsi, la rentabilité de ce dernier. Ces engrenages comportent des dents, à chaque passage d'une dent à l'autre, celle-ci génère une vibration transmise à l'axe qui reçoit, lui-même, d'autres vibrations des différents autres engrenage. Le tout créant, ainsi, un effet de résonance et d'interférences sonore que nous connaissons bien. Même si ces engrenages sont usinés en forme de chevron ou hélicoïdale, cela diminue, un peut, le bruit, dans l’air, mais pas la pression sur les axes qui finissent par transmettre cette énergie cinétique au restant de la structure, ainsi que dans l'eau de mer !.
*Alternateur produisant des vibrations et de l'électricité alternatif, source d’électromagnétisme alternatif, explication technique: les moteurs électriques, comme les alternateurs, sont-ils aussi silencieux qu'il nous paraît ? (Voir croquis.) A chaque passage des aimants du rotor et du stator, correspond à une pression sonore transmise uniquement aux matériaux denses. Nous ne l'entendons pas! (expérience tournevis) Mais ces vibrations seront retransmis aux flotteurs et à l'eau de mer.
*Courant Alternatif = Électro-magnétisme Alternatif.
!DANGER AVIFAUNE ! :
"Pour savoir dans quelle direction voler, les oiseaux migrateurs disposent d’une boussole magnétique biologique. Guidés par le champ magnétique terrestre, ils peuvent ainsi facilement s’orienter vers les routes de migration. Mais le bruit magnétique émis par certains appareils électroniques pourrait-il interférer avec ce système et perturber la migration des oiseaux ?
Ce qui n’était jusqu’alors qu’une supposition vient d’être confirmé par une équipe de chercheurs allemands. Professeur de sciences neurosensorielles à l’Université d’Oldenburg et spécialiste de l’orientation des oiseaux, Henrik Mouritsen s'intéresse au cerveau des oiseaux migrateurs et plus particulièrement à leur système de boussole interne."(www.maxisciences.com)
C'est comme cela que ces alternateurs, situés en haut du mât, génèrent suffisamment de perturbations électro magnétique pour désorienter les oiseaux!.
*Transmission des vibrations par le mât : toutes ces vibrations sont retransmises directement par le mât et s’interfèrent entre elles en créant, ainsi, des surpressions destructrices !.
*Ragages des maillons, manilles, ancres subissant les à-coups marins.
CONSEQUENCES :
Les effets du bruit sur les humains sont déjà reconnus, officiellement, par la médecine. Alors que, particulièrement, les enfants d'environ trois ans sont soumis à la pression sonore trop élevée, les conséquences de la destruction du sens auditif de ces enfants sont irréversibles. Il est constaté, que ces enfants devenus adultes, ont des problèmes auditifs pendant toute leur vie.
Alors que notre sens principal est la vision, nous sommes l'espèce dont l'audition est beaucoup moins développée, et donc, moins indispensable à notre survie. Surtout dans notre société moderne...
Quand est-il alors pour les espèces vivant sous l'eau, dont le sens principal n'est pas la vision, mais bien, l'audition. En effet, il est facilement compréhensible, que l'eau, étant incompressible, transmet les vibrations sonores intégralement sur de très longues distances avec très peu de pertes.
Il est donc, aisé d’admettre que, s'agissant des cétacés, l’écholocation, et donc, l'audition, leur sert à se repérer pour se situer géographiquement, en quelque sorte, c'est leur GPS, ces sens leur sert également à détecter leurs proies, donc à chasser, donc à manger, donc à survivre... L'audition leurs est, également, indispensable, pour repérer les congénères, surtout, si c’est un Delphineau voulant garder le contact avec sa mère, sans l’ouïe, il meurt!!!
Imaginons-nous, en conséquence, comme l'enfant humain, la destruction auditive d'un jeune dauphin.!!! Il est condamné à court ou moyen terme, car il ne sera pas autonome pour se nourrir et se repérer!!!
C'est ainsi que, petit à petit, la biodiversité nous échappe, sans s’en rendre compte, tout de suite, seulement quand il sera trop tard, comme pour le climat aujourd'hui...
C'est également et malheureusement, ce qui se passe pour toute la faune sous-marine. Car la pollution sonore est répartie sur de grandes distances, créant des handicaps sur d'autres espèces animales sous-marins.
Force est de constater que les « experts » qui ont pris la parole en direct ou par vidéo interposée, n’ont pas évoqué ce genre d'hypothèses, qui est, pourtant, déjà très fréquent et que nous soulignons depuis plus de 20 ans !!!
--*--Alors, quelles solutions faut-il adapter pour l'avenir énergétique de nos sociétés de consommation ?
En 2003, lors du premier été chaud du 21e siècle, j'ai lu un rapport qui soulignait qu'il y aurait eu trois fois trop d'énergie électrique si l'on équiperait tous les toits existants, de panneaux photovoltaïques, qui n'était pas très rentable, à l’époque !!!.
Aujourd'hui, alors que la démographie n'a pas beaucoup augmenté, en France, nous n'aurions pas encore assez d'électricité, si tous les toits des bâtiments existants seraient recouverts de ces panneaux...
Cela veut dire, que notre société de surconsommation, nous a incités à augmenter notre consommation d'énergie électrique, et bien d'autres énergies, sous quelque forme que ce soit.
Que s'est-il passé ? Toute cette consommation excessive d'énergie, serait-elle gaspillée pour des choses non-essentiels et bien souvent, cette énergie, comme la nourriture, est jetée et gaspillée sans aucune retenue !.
En même temps que les lobbies pratiquent cette course au gigantisme en gaspillant les milliards donnés par l'Etat, ils doivent vendre leurs surplus de production.
Il serait moins onéreux, pour nos contributions, d'investir sur la réduction du gaspillage d'énergie de chacun et dans tous les domaines.
Ce point a été bien souvent évoqué dans les divers ateliers dans ces débats.
Les jeunes participants, de moins de 30 ans, ont précisé, qu'ils ne pourraient pas se passer de certains sites, comme, par exemple, « NETFLIX ». Ne serait-il pas, alors, si l'on reprend cet exemple, de diminuer la définition des images, ce qui ne changerait pas beaucoup, son utilisation, mais, diminuerait, à la racine carrée, l'énergie dépensée par le passage de chaque pixel dans les réseaux Internet et, diminuerait d'autant la consommation des data-systèmes ?
Parmi les autres points évoqués pour la sobriété et l'économie des consommations énergétiques, l'isolation des bâtiments, à condition que ces sociétés soient mieux contrôler qu’actuellement, le comportement par exemple sur la façon de conduire un véhicule, par exemple ne pas accélérer entre deux virages sur une route de montagne, éviter de démarrer rapidement en ville et entre deux feux rouges, etc...
Bref, les plus petits comportements doivent tenir compte, des plus petites dépenses des énergies cinétique, calorifiques, et électriques, il est impératif de se « PARTAGER » l’énergie… !.
Pour cela, il est important, d'investir dans l'éducation des petits et des grands.
Outre l'éducation renforcée et détaillée, notamment pour la conduite de véhicules, par exemple, il est aussi possible d'installer, sur du matériel existant, des programmes et des accéléromètres, qui peuvent, facilement, calculé la vitesse moyenne afin d'éviter des accélérations et des freinage qui sont énergivores.
Ce mode de vie doit également être renforcé par des incitations :
Il ne s'agit pas d'augmenter le prix de l'énergie, mais d'augmenter le prix à l'unité au fur et à mesure que la consommation individuelle augmente également. Quelle que soit la forme énergétique, elle pourra être contrôlée par un système individuel, à l'image de la carte vitale, pour la sécurité sociale. Ce tarif progressif ne défavorisera pas les petits consommateurs ainsi que les personnes ayant peu de moyens, mais sera très fortement exponentielle pour les grosses consommations et le gaspillage énergétique. Bien évidemment, cette mise au point demandera beaucoup de travail et beaucoup de temps, mais, nettement moins que les milliards investis dans ces éoliennes qui ne garantiront pas leur rentabilité avec le changement du climat actuellement en cours, et par conséquent, le changement de la météo et des vents dominants, comme cela est déjà le cas en mer du nord...
Faut-il rappeler que notre planète n'est pas infinie, qu'elle représente un atome dans notre galaxie, une particule dans notre univers. ?
Notre civilisation, nous, humains, n'avons pas fait progresser la science, seulement, pour notre bénéfice… ?
Ne serait-il pas de circonstance, de s’engager, scientifiquement, pour protéger et éviter d‘ exécuter les souffrances, pour des futilités, du peu de diversité de formes de vie qu'il reste… ?
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