J’accuse les parlementaires ayant voté la fin de la redevance audiovisuelle d’appauvrir le service public et la conscience des Français.
Je ne veux pas d’une vie rétrécie à renfort d’algorithmes, qui me dit quoi choisir et quoi penser, d’un monde de l’audiovisuel répondant aux diktats d’une idéologie ou aux intérêts de quelques personnes fortunées.
Notre service public de l’audiovisuel est un bien commun, il accompagne chacun de nous tout au long de sa vie à travers l’écoute d’une station de radio nationale, du visionnage d’un programme sur une chaîne publique ou d’un film au cinéma. Qui n’a jamais passé un bon moment en compagnie de ces médias, n’a pas été touché, ému, émerveillé, instruit ?
Notre service public de l’audiovisuel reste un soutien majeur à la culture française et contribue à son rayonnement international.
Créer des programmes ambitieux portés par des professionnels de qualité, indépendants des intérêts privés et du pouvoir politique nécessite des moyens financiers importants et constants. Seule la redevance pour l’audiovisuel peut le garantir sur le long terme !
C’est pourquoi devant cet enjeu politique et sociétal majeur, je veux payer ma redevance audiovisuelle.
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