Nous, citoyens, sommes matraqués sur toutes les chaînes de publicités tel "Comme J'aime", "Carglass", "Lidl" qui les renouvellent à profusion. Ce procédé s'apparente à un lavage de cerveaux des consommateurs en ces temps où on leur demande d'être économes. De surcroît, ces méthodes résultent en un monopole vis-à-vis des concurrents, lesquels se voient obligés à leur tour d'en "rajouter".
Également, entre deux émissions, nous sommes bombardés, de temps de publicités "à rallonge" pouvant aller jusqu'à 17mn !
Au nom d'une décence sociale et d'un libre-arbitre, nous demandons au CSA :
1 - d'établir urgemment un quota maximum de publicités journalières d'une même enseigne ou groupe sur l'ensemble des chaînes et radios.
2 - d'établir un quota moindre des publicités visant les mineurs, sur les friandises, boissons et aliments à forte teneur sucrée.
3 - d'établir un temps fixe de publicités entre deux émissions. Il y a quelque temps encore, ce délai ne dépassait pas 10 mn, déjà bien trop long. Un film prévu à 20H00 ne commence en réalité qu'autour de 20H20, ce qui prolonge de manière malsaine le temps consacré au petit écran ou à l'écoute radiophonique.
Les phénomènes "influenceurs" sont déjà un fléau pour les adolescents qui perdent leurs capacités d'analyse et de contestation en toute liberté. L'impact des sur-publicités n'est donc pas négligeable du point de vue sociologique et nous devons prendre les mesures nécessaires pour ne pas inciter les abus de consommation des citoyens.
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