Une fois de plus, ceux qui prétendent défendre le “pluralisme” cherchent en réalité à le bâillonner. Une fois de plus, ceux qui se posent en garants de la “démocratie” s’arrogent le droit de distribuer les bons points idéologiques et de salir ceux qui pensent autrement.
Mme Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, vient de franchir une ligne rouge en qualifiant publiquement la chaîne CNEWS de “chaîne d’extrême droite”. En une phrase, elle a révélé ce que beaucoup redoutaient : le mépris du service public pour la liberté d’expression, l’intolérance envers les opinions dissidentes, et la volonté de réduire le débat public à une pensée unique et aseptisée.
C’est une attaque contre des millions de téléspectateurs, qui choisissent librement une autre manière de s’informer.
C’est une insulte envers des journalistes qui débattent, informent et enquêtent dans le respect des règles du métier.
C’est, enfin, une trahison de la mission fondamentale du service public de l’audiovisuel : garantir le pluralisme, et non l’étouffer.
Une vision idéologique fermée,
Une confusion grave entre service public et militantisme,
Une instrumentalisation d’un média financé par les contribuables, au service d’une pensée dominante.
Or, le service public n’appartient à aucun parti, aucune idéologie, aucune caste. Il appartient à tous les Français.
Des excuses publiques de la part de Mme Delphine Ernotte pour ses propos discriminatoires et stigmatisants envers une chaîne légitime, respectée, et plébiscitée par des millions de Français.
Une garantie formelle du respect du pluralisme au sein du service public de l’information, dans toutes ses composantes.
La démission immédiate de Mme Delphine Ernotte, dont la partialité manifeste est incompatible avec la mission de neutralité et de pluralisme que requiert sa fonction.
Mieux qu’une pensée unique imposée par des élites déconnectées,
Mieux qu’un service public transformé en organe de surveillance idéologique,
Mieux qu’une gouvernance qui disqualifie ceux qui pensent différemment.
En signant cette pétition, nous affirmons :
Que la liberté d’expression n’est pas négociable.
Que toute voix a le droit d’exister et d’être entendue dans l’espace public.
Que ceux qui bafouent ces principes fondamentaux doivent en répondre.
Pour le pluralisme. Pour la liberté. Pour la vérité.
Demandons ensemble la démission de Mme Delphine Ernotte.
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