La réputation du Président TERRAB mise en cause par les fautes du Doyen Karim El AYNAOUI
Alors que le président TERRAB est une personnalité avec une vision pour le Maroc de plus en plus de marocains ne comprennent pas pourquoi il continue à maintenir au poste de Doyen Karim El AYNAOUI. Ce soutient ne se comprend pas du point de vue légal dans un premier temps. La réglementation demande un minimum de 5 ans d’enseignement à temps plein afin de pouvoir occuper le poste de Doyen. Monsieur El AYNAOUI justifie de seulement 1 à 2 ans d’enseignement sachant que le temps plein d’enseignement doit se concevoir avec ce qui se fait dans les universités publiques (360 heures d’enseignement par an). D’autre part il est demandé à ce que le Doyen n’occupe aucune autre fonction. Tel n’est pas le cas puisqu’il cumule avec le titre de directeur du PCNS. On peut constater également qu’il n’existe pas de règlement de fonctionnement de la FGSES et s’il existe il est surprenant qu’il n’ait jamais été distribué à tous les salariés.
Au non-respect de la loi s’ajoute un management fondé sur la peur où l’éthique ne fait pas partie du monde de fonctionnement même si on rédige des chartes, on fait des discours. On assiste depuis plusieurs années à des démissions, des mutations d’office, des licenciements abusifs, des étudiants se retrouvent en souffrance avec des modification de moyenne en cours d’année afin de passer en deuxième année, …. L’idée avance dans de nombreux cercles que la FGSES alors qu’elle devrait être un centre d’excellence est une voie de « garage » de par sa gestion. C’est un peu comme si vous donniez une Ferrari à une jeune personne qui vient d’avoir son permis. Il y a de forte chance que cette voiture finisse sa course dans un précipice, un gouffre. La FGSES est cette voiture aux atouts fantastiques avec un pilote qui n’en porte que le nom.
Face à cette situation il semble bien que deux hypothèses puissent être avancées : soit le président TERRAB n’a aucune connaissance de ces agissements ou, il en est informé, mais refuse d’agir et donc par abstention accepte et cautionne cette situation. D’après nos informations (mais il peut s’agir d’une erreur) il semble que le président TERRAB est connaissance de toute cette situation. Si telle était le cas on ne peut que l’encourager à réagir car sa réputation est menacée et tend à être lentement impactée chaque jour. Le Président TERRAB est un grand serviteur de l’Etat. L’intérêt du Royaume, de la FGSES, de ses étudiants, de ses professeurs, doit passer avant toute autre considération.
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