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Réforme du code de l'action sociale et des familles qui permet les placements abusifs

Réforme du code de l'action sociale et des familles qui permet les placements abusifs Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Jaffry
Destinataire(s) :
Membres du Conseil Constitutionnel
La pétition
Madame le Haut Conseiller, Messieurs les Hauts Conseillers,


J’ai l’honneur de vous alerter au sujet des dérives permises par les dispositions du Code de l’Action Sociale et des Familles.


Préambule

En France, environ 150 000 enfants sont soustraits à leurs parents pour être confiés à l’Aide Sociale à l’Enfance. Certes, il ne s’agit pas ici de remettre en question le bien fondé de certains placements dans les cas avérés de maltraitance, toxicomanie, alcoolisme,... Hélas, comme le reconnaît lui-même Pierre Naves, Inspecteur Général des Affaires Sociales, dans la moitié des cas, ces placements ne se justifient pas. Ainsi, ce sont donc près de 75 000 enfants qui sont arrachés à leurs familles et qui garderont, toute leur vie, les séquelles de ce traumatisme.

Si un tel scandale est encore possible dans notre pays, malgré les rapports Naves-Cathala de 1984 et de 2000, c’est que le Code de l’Action Sociale et des Familles présente de graves lacunes et permet aux services sociaux de violer les Droits de l’Homme les plus élémentaires.



Inconstitutionnalité des textes et des pratiques

Au niveau de la procédure en assistance éducative

Les articles L221-1, L221-4, L226-2-1, L226-3 et L226-4 confient à l’Aide Sociale à l’Enfance des pouvoirs très importants. C’est, en effet, une seule et même institution qui évalue: les capacités des parents, la nécessité du placement, la pertinence de son action, la qualité de son propre travail auprès des enfants placés et des parents,... Lors de la procédure en assistance éducative, les services sociaux cumulent - en quelque sorte - les rôles de juge d’instruction (ou de l’enquête), de procureur (ou d’avocat général) et de juge d’application des peines.

Sans doute cette concentration des missions a-t-elle été voulue par le législateur dans un souci d’efficacité de l’action sociale au service des intérêts supérieurs de l’enfant. Néanmoins, cette confusion des pouvoirs est tout à fait contraire au respect d’une procédure équitable et à la préservation de l’équilibre des droits des parties. Beaucoup de parents d’enfants placés considèrent qu’ils sont victimes d’une instruction à charge, de la part de services sociaux à la fois juge et partie, sans même avoir la faculté de demander un dessaisissement pour suspicion légitime.

On pourrait rétorquer que la décision de placement est prononcé par un Juge des Enfants indépendant et impartial. Certes. Mais, dans la réalité, le Juge des Enfants se contente souvent d’entériner les propositions des services sociaux. En effet, au fil des années, les Juges des Enfants ayant l’habitude de travailler avec les services sociaux (à qui ils confient les missions d’observation et de mise en oeuvre des mesures d’assistance éducative), une certaine relation de confiance s’établit entre Juges et services sociaux. Cette confiance se transforme, petit à petit, en complicité (allusions implicites en forme de clin d’oeil entre Juge et travailleurs sociaux lors de l’audience), voire même en connivence. Ainsi, il est assez courant que le Juge des Enfants reçoive les services sociaux, en catimini, quelques minutes avant l’audience, pendant que la famille patiente dans la salle d’attente. Cette pratique devrait être strictement interdite par la loi car elle est contraire au respect du contradictoire.

Par ailleurs, les travailleurs sociaux ont rarement le courage de lire aux parents les rapports qu’ils ont envoyés au Juge (pour notre part, une seule fois
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206 commentaires
Jean-francois - Le 26/10/2010 à 09:28:25
Je suis déterminé à porter les multiples délits criminels de l'ASE, couverts par une juridiction de non froit, devant les plus hautes autorités nationales et internationales.

Un père de 53 ans, d'un fils de moins de quatre ans conadamné à ne me rencontrer que 24 heures par an lors de deux gardes à vue mensuelles...



Bon courage à tous les parents déprimés.
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Francoise - Le 03/12/2010 à 11:13:11
ici aujourd'hui en France, il y a un génocide d'enfant.

Un génocide institutionnel invisible,

mais il prend de plus en plus d'ampleur à cause de la précarité, le mal logement. ( dénoncé par ATD Quart monde, secours catholique, fondation abbé Pierre, Emmaüs).

200.000 enfants placés par aide sociale à l'enfance (ASE) sans que le parent n'y peut rien.



puisque les travailleurs sociaux sont

- les décideurs, les juges du bien fondé de ce placement, les juges pour qualifier le parent de négligent, voire maltraitant et les juges pour qualifier l'enfant d'instable justifiant son placement.



Jamais ils ne s'interrogent sur l'autre. Cette institution est altruicide (cf. jean Maisondieu)



l’enfant qu'ils ont coupé de tout liens chaleureux familiaux sera qualifié d'instable.

Cf. le petit Christopher qui a fugué d’un foyer. Il ne savait pas où habitait ses parents, ne voyait pas sa soeur jumelle, sa famille il ne la voyait que dans un lieu médiatisé avec des éducateurs pour vous surveiller.

juger instable, il devait être placer dans une institution pedopsychiatrique.

la solution des travailleurs sociaux, c'est de rajouter de l'inhumain.

Le parent qui osent manifester sa réprobation sera qualifié de malfaisant pour l’enfant car il est jugé par les travailleurs sociaux comme étant atteint d’un « délire de persécution » forme chronique. Il les dérange dans leurs toutes puissances sur l’enfant. Cet « abus de faiblesse » est adoubé par une expertise psychiatrique de 10 minutes sur un parent en grande souffrance parce qu’on lui a pris son enfant sur des allégations mensongères, sur de l’injustice sociétale.



Pour eux, l
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Stephane - Le 05/11/2013 à 17:43:29
c'est honteux ces assistantes sociale qui on tous les pouvoirs !!! certaines n'ont meme pas d'enfants ! et ne connaissent l'éducation d'un enfant,seulement dans des livres !
cette pétition est vraiment bien expliqué,sur le faite qu'elles s'arrange avec le juge,qui lui n'est la que pour justifier son salaire ...
on les payes pour détruire plus qu'elle ne sauves !
et en faisant 8h midi 13h30 17 ,en envoyant une lettre quand elles passe pour les enquètes !
alors que les problèmes ne sont qu'aux apéros du soir et la nuit !!!?
les pros de 'l'apparence' tous ça pour flater leurs égaux démesuré !!!
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