Depuis plusieurs années, je conteste les charges locatives opaques et abusives imposées par mon bailleur social, RLF, gestionnaire du parc immobilier du ministère des Finances.
On me facture des prestations inexistantes ou injustifiées, telles que :
– l’entretien d’espaces verts qui n’existent pas,
– des interventions réalisées dans d’autres résidences mais imputées à la mienne par le syndic,
– la rémunération inchangée d’un gardien dont les missions ont pourtant été réduites de moitié, et qui, selon constats d’huissier, n’exécute pas les tâches pour lesquelles il est rémunéré.
Dans le même temps, les heures facturées à l’entreprise de nettoyage augmentent de manière incohérente.
Des gardiens ont été affectés à ma résidence en plus de celle qu’ils occupaient déjà, soit deux résidences distinctes pour chacun d’eux. Pourtant, leurs horaires n’ont pas été modifiés, ce qui rend toute présence effective sur les deux sites matériellement impossible. De plus, ces gardiens n’effectuent que des tâches administratives, qui ne sont pas récupérables auprès des locataires.
Malgré cela, RLF nous facture des charges de gardiennage en doublon pour chaque résidence, ce qui constitue une facturation injustifiée et abusive.
Autre dérive : le chauffage collectif continue d’être facturé à l’ensemble des locataires, alors que les logements sont désormais équipés de répartiteurs individuels, rendant cette facturation collective illégitime.
En parallèle, RLF a détourné à son profit un trop-perçu de charges locatives, et mon APL sans procéder à la régularisation qui m’est due.
Pour avoir dénoncé ces pratiques, j’ai subi des représailles graves : violences physiques (avec 12 jours d’ITT à la clé), pressions morales, et une expulsion abusive de mon logement.
RLF, bailleur du parc immobilier du Ministère des Finances, profite de sa position pour intimider et sanctionner les locataires qui contestent en tant que haut fonctionnaire de l’état.
J’ai également demandé un contrôle sur la création de la succursale iRLF, domiciliée à la même adresse que RLF, utilisant ses ressources humaines et matérielles à des fins privées.
Je n’ai pas été entendue par la justice, dont la complaisance institutionnelle est tristement connue, mais elle est d’autant plus choquante lorsqu’il s’agit de fonds publics et de droits fondamentaux.
C’est ainsi que le tribunal de la Cour d’appel de Paris m’a condamné à une expulsion locative forcée, en détournant mes pièces au profit de la partie adverse, le tribunal Judiciaire de Bobigny fait blocage afin que je ne puisse pas accéder à mon dossier en tant que partie civile, plainte du 15 février 2021 !
Ces pratiques, contraires à la loi et à la transparence attendue d’un bailleur social, ont été validées par une justice qui n’a jamais examiné le fond de mes contestations.
Je demande que la lumière soit faite sur cette affaire, que mes droits soient rétablis, et que cessent :
– les abus de pouvoir du bailleur et de la justice,
– les détournements de fonds publics,
– les représailles à l’encontre des locataires précaires.
– Me rendre mon logement
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