Il était une fois dans un monde qui ne dit pas son nom, des institutions au service du peuple. Institutions qui nécessitent la vertu et l'humilité. A y voir de plus près, étant sur le champ des opérations, j'ai vu tout ce que la justice et les forces de l'ordre avaient de méprisable : la possibilité de nuire aux vertueux tandis que les médiocres étaient sauvés. Parait-il qu'il existe la cour supérieure de la magistrature, l'IGPN et l'IGGN qui veillent sur le bon fonctionnement de ces institutions. On imagine fort bien que dans ce qu'on peut aujourd'hui appeler des corps hors de contrôle et tournés vers le vice, ceux qui ont du pouvoir ont tendance à en abuser, jusqu'à détruire les gens de bien. J'ai croisé des procureurs, des magistrats, des gendarmes et même des policiers pour me rendre compte que la grande majorité pourrait s'appeler le grand banditisme, à part quelques vertueux mais qui malheureusement ne constituent pas la majorité du genre. Alors il faut le dire, de l'indépendance de la justice et des forces de l'ordre, il est temps de mettre un frein à l'immobilisme et de nettoyer les écuries d'Augias.
Il est temps que pour la justice, la gendarmerie et la police, là où il parait que pour certains c'est cinq ans de droit et tout le reste de travers, quant aux autres, on se demande comment on les recrute, que des corps constitués de personnes du peuple se substituent à ces trois organes de contrôle où il parait qu'on y trouve le mur des cons.
Je suggère donc que la surveillance du bon fonctionnement de la justice et des forces de l'ordre soit sous le contrôle du citoyen, sans qu'aucun ne fasse parti des corps susvisés.
Bernard Antoine.
MVCLV
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