Aucun crime sexuel ne doit rester impuni dès lors qu'il est dénoncé. Cela se rapporte également aux crimes passés et prescrits par la loi.
Il est grand temps de redonner la parole aux victimes qui se sont tu pendant des décennies parfois, soit pour protéger leurs bourreaux et leur entourage et dans ce cas il est question d'emprise, soit dans la plupart des cas dans le cadre d'amnésies traumatiques qui sont très variables selon chaque individu.
À ce titre, il faut revoir l'arsenal juridique et s'opposer aux délais de prescription dans ce cadre précis.
Ce projet titanesque doit être porté par les instances politiques et judiciaires, cela doit être une des priorités du prochain quinquennat.
Plus nous serons nombreux à dénoncer les lois qui encadrent les viols et incestes (délais de prescription) moins inique en seront la résultante.
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