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Pétition

Contre le placement abusif de Ève

Contre le placement abusif de Ève Pétition
943 signatures
Avec 57 signatures de plus, cette pétition sera plus facilement recommandée à des signataires engagés.
Auteur :
Auteur(s) :
Jennifer Meyer
Destinataire(s) :
La protection de l'enfance, les juges des enfants, l'état
La pétition
Mise à jour
Je me nomme Meyer Jennifer, j'ai 29 ans, je suis maman d'une jeune fille, Ève ,de 8 ans. Ève et moi sommes très proche, nous vivons seule ensemble, nous partageons tout, nous sommes très fusionnelles, elle est épanouie comme tout enfant de cet âge. Ève sort avec ses amis de son âge dans notre rue, toujours visible de ma fenêtre bien-entendu. Ève dispose d'un téléphone portable sans internet, avec pour seul contact,moi-même, comme toutes ses amies, afin de toujours pouvoir me contacter en cas de problèmes quel-qu’il soit. Voici notre histoire :

28 Février 2018 : Attouchements sexuel
Mon meilleur ami d'enfance, Monsieur C. , animateur en périscolaire, oublie son téléphone portable dans mon domicile vers 23h. Je décide de lui faire une blague en prenant des photos marrante, lorsque je découvre par mégarde une vidéo, je l'ouvre, et par horreur je découvre une scène d'attouchements sexuel entre Monsieur C. , 30 ans, et ma fille de 8 ans, endormi sur le canapé.
J'appel de suite les gendarmes afin de porter plainte. Ils arrivent vers 2h du matin. En les attendant, je réveil ma fille, je la met dans la douche et je me met à la frotter, sans prendre conscience de mon choc. 
Une fois les gendarmes arrivés, je dépose plainte, ils menotte Monsieur C. vers 5h30 du matin, et me font regarder la vidéo 7 fois afin de bien certifier qu'il s'agit de ma fille.

Suite à ça, ma fille et moi-même, devons répondre à plusieurs rendez-vous concernant les attouchements. Ma fille doit répondre à des questions non adapté à son âge. Ma fille a fini par s'adapter à ce genre de questions dit " d'adultes", et donc a commencer à répondre telle une jeune fille adolescente. 
J'ai bien-entendu fais appel à une pédopsychiatre, afin de faire suivre ma fille et de l'aider au mieux.

20 Avril 2018 : Avis d'ouverture d'une procédure d'assistance éducative
Une mesure éducative est ouverte suite à une information préoccupante déclaré par une éducatrice par rapport à l'agression sexuelle sur mon enfant. La mesure va durer 5 mois, durant lesquels une éducatrice, Madame M., va venir questionner ma fille et moi-même, ainsi que vérifier notre quotidien, afin de vérifier si ma fille est en sécurité et si elle est dans un endroit bon pour son développement.

21 Juin 2018 : Nouvelles informations concernant l'affaire du pédophile
Ce jour, une lettre arrive, l'enquête indique que dans les ordinateurs, téléphone portables, tablettes, et disque dure de Monsieur C., qu'il y a des vidéos sur mon enfants et sur cet homme, montrant un réel viol. 
L'enquête se poursuit donc.

L'année se fini normalement, la mesure éducative se passe bien, l'éducatrice me met en confiance. 

15 Janvier 2019 : Premier Jugement
Premier jugement en assistance éducative ( placement ), suite à la mesure éducative qui, pour moi, s'est très bien passé, il noté, que ma fille est décrite comme une enfant particulièrement mature, intelligente, qui se présente dans ses attitudes et dans ses propos, d'avantage comme une adolescente voir une mini adulte. ( forcément au vu de ses nombreux rendez-vous suite au viol elle s'est adapté comme indiqué plus haut ).

La scolarité de ma fille se déroule dans de bonnes conditions, elle adore l'école et s'y investi énormément. Il est noté que Ma fille ne manifeste aucunes symptomatologie en lien avec les faits d'agressions subis.

Il est noté que je ne parviendrais pas à considérer les besoins de ma fille et à poser un cadre éducatif sécurisant et bienveillant, adapté à l'âge de mon enfant.
Le service considère que le positionnement de maternel ne permet pas à Ève d'évoluer à une place d'enfant et de se construire psychiquement et affectivement en tant que tel.

Le service préconise une mesure de placement en famille d'accueil pour permettre à ma fille d'évoluer à une place d'enfant. ( Bien oui quand un enfant se fait violer on le met dans une famille inconnue pour y vivre ... )

Une lettre a été remise au juge des enfants le jour de l'audience, Madame M. ( oui j'ai pas le droit de dire les noms) évoque différents éléments d'inquiétude concernant la situation de ma fille à mon domicile. Elle confirme assurer une partie de la gestion de mon quotidien ( j'ai une phobie des grand trajets et des endroit peuplé, la pathologie se nomme agoraphobie, ce qui n'influe en rien mon quotidien, enfin bon elle avait l'envie de marquer ça, passons ) Elle fait état d'un contexte peu sécurisant, évoque le mal-être et la tristesse de ma fille, estimant que celle-ci est livrée à elle-même à mon domicile.
( heureusement que je suis accro aux réseaux sociaux, ce qui a permis de prouver que je ne lâche jamais ma fille et surtout qu'elle n'est absolument pas triste et qu'elle n'a aucuns mal-être )

La mesure de placement est donc mise en place jusqu'au 30 Septembre 2019, ils n'ont absolument pas pris en compte ni les preuves des faux témoignages, ni le fait que ma fille a du s'adapter aux questions non adaptés à son âge, concernant l'affaire criminelle en cours. 

Mon avocate a , tant bien que mal, tenté de résoudre le problème, mais en vain, l'éducatrice a décidée d’exécuter son plan machiavélique.

La décision est donc prise , ont m'accorde un droit de rencontre sous la forme d'un droit de visite et d'hébergement s'exerçant a minima deux week-end par mois, et pour partie des vacances scolaires.
Dit que la fréquence des hébergements pourra évoluer sur évaluation du service gardien.

J'ai bien entendu fait appel à cette décision.

8 Février 2019 : Placement de ma fille
Les éducatrice ont trouvé une famille d'accueille, loin de mon village, Ève doit changer d'école, laisser ses amies, ses repaires, sa vie. Elle déménage, je doit préparer toute ses affaires ....
La famille d'accueille est adorable, ils ont 2 enfants, je sais que je peu avoir confiance en eux, ma fille sera en sécurité, mais je n'accepte pas.

Ève ne réalise pas encore.

Premier week-end de garde à mon domicile après quelques jours passés dans la famille d'accueille, tout ce passe bien, Ève a le sourire elle me raconte tout ses exploits et comme sont les enfants la-bas et nous passons un très bon moment.
De retour dans la famille d'accueille, Ève se met à vomir et a des douleurs au ventre. 
Elle déprime toute la semaine d'après l'éducatrice.

En passant un coup de fil à l'éducatrice chargé du dossier, elle me fait part du fait que si Ève à déprimé au retour de chez moi, se serait de ma faute, que se serait parce que je lui monte la tête...
( ben oui quand une enfant quitte son domicile et sa mère, le fait qu'elle déprime n'est pas normal du tout n'est-ce pas ? )
Je tente tant bien que mal, à expliquer à l'éducatrice que ma fille n'a que 8 ans et qu'il est normal de déprimer quand une inconnue oblige une enfant à quitter son domicile familiale, mais elle ne veux rien entendre et me menace de me raccourcir mes jours de garde. 

27 Mars 2019 : L'éducatrice met ses menaces
Je reçois une ordonnance de droit. Il est indiqué que l'éducatrice chargée du dossier, a transmis au greffe du tribunal pour enfant, le 11 Mars 2019, que ma fille investi positivement la mesure de placement, mais qu'elle manifeste un certain mal-être au retour des temps d'hébergement au domicile maternel, et qu'elle semble prise dans un conflit de loyauté; qu'il est relevé que, moi, j'ai pu évoquer auprès de ma fille, un prochain départ de la famille d'accueil du fait de l'appel interjeté contre la décision; que le service note que Ève est perturbée par le discours maternel, indiquant qu'elle ne sait plus qui croire. 
( oui ma fille à déprimé, je l'ai rassuré en lui expliquant que j'ai fais appel à la décision afin de me battre pour qu'elle rentre à la maison, et que j'y arriverais car je ferai tout pour elle. "Elle ne sait plus qui croire", cela veux donc dire que quelqu'un lui raconte qu'elle ne rentrera pas ? donc que quelqu'un de la protection de l'enfance tente de la déprimer encore plus.)
Il est noté que je conteste la mesure de placement ( encore heureux que je conteste ) et que donc le travail s'amorce difficilement du fait de ma posture de dénonciation de placement.
Par ces motifs, l'éducatrice demande une modification de modalité d'exercice du droit hébergement, et met en place, sa menace de me raccourcir les jours de garde. 

Je passe donc d'un droit de garde d'une semaine de vacances sur les deux, à 2 nuitées par période de vacances.

Nous tentons de passer toujours de bon moments pendant nos week-end, malgré cette nouvelle qui m’exaspère. Nos activité sont variés. Quand Ève arrive, j'envois un sms à mes parents afin qu'ils puissent la voir si ils le veulent, Ève demande à aller voir son meilleur ami N. qui habite à coté de chez nous. Le dimanche nous passons notre journée à nous maquiller pour nous déguiser,Ève adore se déguiser et moi aussi par la même occasion,  et de belles photos sont là pour nous rappeler ses bons moments.
Ève se ballade dans la rue principale avec une de mes meilleure amie Madame A.qui est majeur, sœur du l'agresseur de ma fille, mais étant mon amie de longue date, elle n'est pas du tout impliqué dans cette histoire et fait même parti des témoin, et d'une aide précieuse pour ma fille et moi-même depuis le début. 
Ève va même à une soirée dansante familiale, la saint patrick, qui se déroule dans notre village un samedi soir, avec ma belle sœur et son fils, afin d'y rejoindre ses amies et de s'y amuser. Elle est cherché en voiture par ma belle sœur à 21h30 et de retour à la maison à 23h ( 1h30 suffit amplement pour une enfant lors de ces soirées, ma belle sœur est restée avec ma fille et son fils tout le temps sans les lâcher bien entendu ) de nouveau de belles photos pour garder cette soirée en souvenir. 

29 Mars 2019 : Ordonnance de suspension de droit
Des éléments inquiétants, ont été transmis à la protection de l'enfance.
Je reçois un courrier d'ordonnance de suspension de droit, m'indiquant que deux personnes ( ont va les appeler Monsieur et Madame M. ) ont communiqués à la protection de l'enfance, que ma fille aurait été récupérée par la sœur mineur de son agresseur, et qu'elle se serait rendue au domicile de ce dernier, et que ma fille se serait rendue seule, à une soirée et qu'elle n'a réintégrée le domicile qu'à minuit. Et que je ne paraît pas mesurer les risques pour la sécurité de ma fille.

L'éducatrice ordonne la suspension de mes droits d'hébergement et instaure un droit de visite médiatisée.

29 Avril 2019 : Modification des droits
Suite aux propos tenus par Monsieur et Madame M. le juge des enfants et saisie par la protection de l'enfance. Lors de ce jugement mon avocate met sur table toutes les preuves de ses fausses accusations, attestation sur l'honneur des adultes présents lors de la soirée avec ma fille, dont ma belle sœur, attestation sur l'honneur de l'heure à laquelle ma fille est rentrée, soit 23h, attestation sur l'honneur de la mère de Madame A. qui certifie ne plus avoir aucuns contacts avec l'agresseur étant donné qu'il est en foyer en attendant son jugement, ainsi qu'une attestation sur l'honneur que ma fille ne s'est absolument pas rendu à leur domicile. 
Cependant via ces fausses accusations Madame A. a été convoqué à la gendarmerie car elle est accusée de mettre en relation ma fille et son agresseur, et donc par cette accusation, elle a une mesure d'éloignement de ma fille et de moi-même.

Cependant je n'ai pas souhaité porter plainte pour dénonciations calomnieuses pour le moment, afin de peut être trouver d'abord un moyen pacifiste pour régler les choses avant de passer par la case 5 ans de prison pour dénonciations calomnieuses.

Résultat de ce jugement, l'éducatrice n'a absolument pas pris en compte les preuves officielles contre ces fausses accusations, et continue son acharnement sur ma personne, en ordonnant officiellement des droits de visites médiatisées en milieu neutre, mon avocate tente de me défendre en demandant des visites à mon domicile suite au fait que j'ai une peur des longs trajets et que je ne souhaite pas être malade arrivé devant mon enfant. 
Les visites médiatisées à mon domicile sont accordées s'exerçant à minima deux fois par mois sous la présence d'un tiers de service éducatif.

2 Juillet 2019 : Jour de l'appel à la Cour d'appel de Colmar

J'ai fais appel à la décision de placement de mon enfant en Janvier, cependant l'éducatrice à fait appel elle aussi concernant les visite médiatisé réalisées à mon domicile, car d'après l'éducatrice les visites se passent mal ( les visites durent 1 h, pendant cette heure ma fille et moi sommes heureuses de nous voir, elle me couvre de câlins, on joue on rigole, j'ai le droit à 2 visites par mois, cependant l'éducatrice m'a supprimée la seconde visite sans explications) elle déclare que les visites médiatisée sont compliquée, et que je prendrais ma fille dans un coin pour lui chuchoter des choses ... ( durant toute la visite médiatisée je suis assise à coté de ma fille devant l'éducatrice qui me parle pendant une heure ... comment puis-je m'absenter pour parler à ma fille ? ma fille a même déclaré, devant l'éducatrice, que pour elle c'était trop cour, que 1h n'était pas assez) 

Il est aussi indiqué dans cet Arrêt, que Monsieur et Madame M., aurait envoyé une nouvelle lettre au greffe le 9 Janvier 2019, indiquant que ma fille ressent de l'insécurité envers mon ex compagnon Monsieur S. qui serait soit disant violent avec son neveu ( heureusement là dessus nous avons encore des preuves de ces fausses accusations ) et qu'il serait en possession d'armes blanches ( oui des catanas de décoration serait pour eux des armes blanches, du coup vous possédez presque tous des armes blanches attention ! ) 

Selon le rapport d'investigation, la chambre de ma fille ressemble à un débarras ( et bien oui si vous décidez de passer en milieu de journée vous trouverez par terre une montagne de jouets digne d'un parcours du combattant ... s'il n'y a pas ça chez une mère c'est que son enfant ne doit pas être super joueur ... )

Il est aussi indiqué que "j'ai" mi un nouveau locataire dans le lotissement ou j'habite et qu'il s'agit d'un homme. ( j'étais pas au courant que j'avais une fonction de propriétaire ... sinon non je n'ai pas ce pouvoir de mettre qui que ce soit dans les appartement de mon lotissement )

Et pour finir, il est de-nouveau indiqué, que j'ai laissé ma fille sortir seul un samedi soir sans la présence d'un adulte et que je l'aurai laissé avec la sœur de son agresseur âgée de 15 ans ( oui ils relancent les fausses accusations malgré les preuves et en plus elle n'a pas 15 ans elle en a 18 ... vous voyez le problème là ? )

De ce fait :  Ont me SUSPEND mes droits vis-à vis de ma fille et ont me prolonge le placement de ma fille. 
Je n'ai à ce jour, plus le droit de la voir, plus le droit de la contacter.

Voilà pourquoi je fais cette pétition, afin de rallier un maximum de personnes à ma cause. 
De plus, si vous souhaitez avoir des preuves de tout mes dire sachez que vous pouvez m'envoyer votre adresse mail, je vous enverrez toutes les copie des rapport de jugement. 
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232 commentaires
Le 27/08/2019 à 23:51:42
Courage à vous
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Sandrine - Le 19/07/2019 à 13:02:48
Interdire à un enfant de voir sa mère, alors que c'est sa mère qui a dénoncé le viol subi par sa fille est incompréhensible. Si la mère n'est pas en capacité é d'assurer la sécurité de sa fille, comme semble le penser les services sociaux, elle reste sa mère et sa fille doit souffrir horriblement de ne pas pouvoir la voir plus souvent. Éve est punie injustement par la "Justice" française. Ce qui m'effraie également c'est que les familles d'accueil ne sont pas suffisamment contrôles tout comme les foyers où des enfants continuent d'être victimes de maltraitances physiques morales, viols, vols... L'intérêt de l'enfant serait de pouvoir continuer à voir sa maman plus souvent.
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Le 07/07/2019 à 23:16:04
Bon courage a toi
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