Bonjour,
La tendance mondiale va vers l’éradication de la peine de mort. En 2025, plus de 2/3 des pays dans le monde ont déjà aboli ou suspendu la peine capitale. Cela montre un mouvement général vers des systèmes judiciaires plus humains et plus respectueux des droits fondamentaux.
Vos signature sont donc les bienvenus.
Cette machine à tuer dois cesser déjà 145 pays l’ont abolis y compris la France depuis 1981.
Le rôle de l’état est d’orchestrer la justice et pas la vengeance collective ni la déshumanisation.
Cela ne soulage aucunement les familles de victime. Ils prennent juste plaisir à ce trafic d’être humain comme à l’époque des romains et de César.
La définition de la peine de mort ou peine capitale: se défini comme des assassinats étatique ou des meurtres prémédités de sang froid commis par l’état ou le pays qui la pratique encore. Ou les gens du peuple sont complice des ces meurtres.
- Selon l’article 5 de la déclaration universelle des droits de l’homme: nul homme ne peux se faire enlever la vie, nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Car infliger cela aux prisonniers en plus au nom du peuple tout entier est intolérable, cela rend l’état psychopathe.
Les exécutions, qu’elles soient publiques ou non, ont des effets négatifs sur les prisonniers, leurs familles celles des victimes et même les agents chargés de l’exécution. Cela peut engendrer de la souffrance mentale, des dépression sévères, des états de chocs, des traumatismes, des tendances meurtrières, même pour ceux qui sont responsables de l’exécution.
Cela participe à la déshumanisation de la société et affecte l’esprit collectif.
La peine de mort n’affecte pas seulement les condamnés, mais aussi les personnes chargées de l’exécuter et, plus généralement, le système judiciaire lui-même. Il deviens froid et sans cœur.
C’est un problème et une véritable arme de guerre de manière massive, systématique, qui entretiens les conflits, lors des guerres.
Ce châtiment n’est plus tolérable de nos jours, la justice doit être équitable pour tous, elle dois respecter les droits humains ainsi que la dignité humaine. La peine de mort est une forme cruelle de punition qui viole la dignité humaine. On peut respecter le prisonnier en tant qu'être humain sans accepter son crime.
Garder un détenu dans le couloir de la mort est beaucoup plus coûteux que la prison seule.
Parfois des prisonniers ont 30 ans de torture psychologique enfermes en prison dans le couloir de la mort avant leurs exécution.
Mais l’explication viens après.
Les points importants à retenir:
- 1:l’irreversibilite des erreurs judiciaires :
La peine de mort est irréversible. Si une erreur judiciaire se produit, une personne exécutée ne pourra jamais revenir en vie. Il y a eu plusieurs cas où des innocents ont été condamnés à mort, puis disculpes après de nouvelles preuves.
prenez le cas de:George Junius Stinney Jr.
il était un garçon de couleur de peau noire de seulement 14 ans lorsqu'il a été condamné à mort à tort en Caroline du Sud en 1944 pour le meurtre de deux filles. Le procès, qui n'a duré que 10 minutes, a été mené par un jury entièrement blanc et a été caractérisé par de graves irrégularités. Il n'y avait aucune preuve tangible, aucune trace écrite des faits ou des transcriptions du procès, et Stinney s'est vu refuser le droit de faire appel. Il a été exécuté sur une chaise électrique sans que sa culpabilité ne soit jamais vraiment établie. Ce n'est que 70 ans après sa mort, le 17 décembre 2014, qu'un juge a finalement déclaré Stinney innocent, reconnaissant que le procès avait été entaché de graves erreurs judiciaires et que l'exécution d'un mineur constituait une punition cruelle et inhabituelle, contraire au huitième amendement de la Constitution américaine.
Cette affaire représente l'une des pages les plus sombres de la justice constitutionnelle et une injustice tragique qui ne pourra jamais être entièrement réparée.
- 2:Discrimination et inégalités:
Des études montrent que la peine de mort est souvent appliquée de manière discriminatoire, en fonction de facteurs comme la race, le statut socio-économique ou même la qualité de la défense. Les personnes pauvres ou issues de minorités peuvent être plus susceptibles d’être condamnées à mort, ce qui pose un problème éthique et moral majeur.
- 3: l’État ne doit pas être autorisé à décider qui mérite de vivre ou de mourir.
La déshumanisation en référence à la peine de mort signifie que le système judiciaire, en décidant d’ôter la vie à une personne, la traite non pas comme un être humain avec une dignité intrinsèque, mais plutôt comme un objet à éliminer.
Cela peut avoir plusieurs effets dévastateurs:
- La négation de la dignité humaine : La peine de mort implique une réduction de l’individu à son crime, en oubliant sa capacité à changer, à se repentir ou à réhabiliter. Cela envoie le message que certaines vies ne valent pas la peine d’être préservées.
- 4:L’impact sur les exécuteurs :
Les personnes qui exécutent la peine de mort (par exemple, les bourreaux) sont confrontées à la violence d’une manière qu’elles doivent rationaliser ou banaliser. À la longue cela peut créer une forme de désensibilisation émotionnelle, où la valeur de la vie humaine est diminuée dans leur esprit. Au fil du temps, cela peut contribuer à une vision plus froide et moins empathique des êtres humains en général.
- 5: La société dans son ensemble :
Lorsque la société accepte la peine de mort, qui est une sentence inscrite dans la loi, elle peut également commencer à perdre une partie de son compassion collective. Le fait de soutenir l’exécution de personnes condamnées peut nuire à l’empathie envers autrui et ceux qui sont dans des situations difficiles.
Cela peut aussi affecter les notions de réhabilitation et de justice réparatrice, qui privilégient la réintégration des individus dans la société.
- 6: Chez les prisonniers:Isolement et angoisse
L’attente dans le couloir de la mort de la condamnation à mort crée un stress psychologique intense, souvent appelé “la torture légale”. Les prisonniers sont enfermés dans des cellules de haute sécurité, parfois pendant des années, en attendant leur exécution. Les périodes de confinement ne peuvent pas durer plus que ce que la convention des droits de l’homme l’impose. L’incertitude et la pression constante peuvent entraîner des troubles de l’anxiété, des dépressions profondes, des troubles du sommeil, et d’autres formes de détérioration psychologique.
- La mort lente avant l’exécution : Même sans l’exécution immédiate, les détenus peuvent être confrontés à des formes de souffrance liées à l’idée constante de la mort imminente, un processus souvent qualifié de “morte lente”. Ce genre de stress et de traumatisme n’est pas seulement moralement problématique, mais peut aussi affecter la santé mentale des prisonniers de manière irréversible.
Troubles psychologiques chez ceux qui exécutent. Les personnes responsables de l’exécution, qu’il s’agisse des bourreaux ou des personnels pénitentiaires, peuvent développer des troubles psychologiques graves. Ces individus sont souvent confrontés à un dilemme moral intense : exécuter un être humain, en dépit des efforts pour rationaliser leur rôle dans l’appareil judiciaire. Cela peut entraîner des troubles de stress post-traumatique (TSPT), de la culpabilité ou même des comportements violents.
- Érosion de l’empathie : Le fait de participer à l’exécution peut également entraîner une forme de désensibilisation, où les individus deviennent de plus en plus incapables de reconnaître la souffrance humaine, ce qui nuit à leur propre humanité.
La peine de mort peut aussi engendrer des effets de déshumanisation à l’échelle de la société :
- Normalisation de la violence : Lorsque l’État sanctionne l’exécution de la vie, cela peut envoyer un message sous-jacent que la violence est une solution acceptable et raisonnable aux problèmes sociaux et criminels. Cela peut également inciter une culture de la vengeance, où les individus adoptent une vision manichéenne de la justice, sans chercher à comprendre les causes sous-jacentes des actes criminels. Ni la valeur de la vie de tout individus.
Polarisation et division sociale : Le débat autour de la peine de mort divise souvent profondément les sociétés. Dans des pays où la peine de mort est encore en vigueur, elle peut engendrer une polarisation morale et éthique entre ceux qui croient que la justice doit être rendue par la mort et ceux qui militent pour une approche plus humaine dans le respect de la convention des droits de l’homme.
Conclusion:
L’abolition de la peine de mort vise donc à préserver la dignité humaine, à protéger la santé mentale des individus (qu’ils soient condamnés, exécutants ou membres de la société), et à promouvoir une approche de la justice qui soit plus réhabilitative que punitive. C’est un moyen de lutter contre la violence systématique et de promouvoir un monde plus sur,compatissant et respectueux des droits fondamentaux.
Si vous êtes arrivé jusque là je vous remercie infiniment d’avoir été courageux pour avoir lu jusqu’à la fin.
Et si ma vision du sujet vous parle, je vous encourage fortement à signer la pétition qui est gratuite.
J’aimerai que les lois soit plus humaines, respectueuses et remanier autrement.
afin que les failles dans le système judiciaire soit mieux construites pour le bien et la santé mentale de tous dans le monde.
Amicalement vôtre.