STOP SUICIDE ENFANTS/ADOS !!!
Protéger les enfants et les ados contre le suicide.
PROPOSITION DE PROJET DE LOI : inclure le dépistage du risque de suicide dans les examens médicaux de routine.
Il est important d’inclure le dépistage du risque de suicide dans les examens médicaux de routine. Etre écoutés par leur médecin pourrait les rassurer pour certains, et pourrait pour d’autres leur permettre de parler de leur mal-être.
Quel que soit le mal-être, il est important d’agir à temps. Ce n’est pas lorsqu’il y a malheureusement un décès qu’il faut soulever la question.
Le bien-être des enfants doit être notre priorité absolue, car ils sont les acteurs de demain…
Le suicide chez les jeunes :
Le harcèlement, les violences physiques et verbales, l’inceste et la pression familiale sont les principales causes de suicide chez les enfants et les adolescents.
Il y a plus de 10 000 victimes par an en France. C'est la 2ème cause de mortalité chez les ados entre 10 et 19 ans en moyenne (avec un bon de plus de 30% par an).
Il y a de plus en plus d’ados qui se suicident dans le monde. Dans tous les pays, les chiffres augmentent. Maintenant, les enfants se suicident aussi.
8 enfants sur 10 subissent des moqueries (harcèlement), des rackets, des insultes (violence verbale), des coups (violence physique), sans compter les viols issus d’inceste et de pédophilie.
Le suicide est la 2ème cause de mortalité chez les ados 10-15 ans et chez les 15-24 ans, tous pays du monde confondus. Les chiffres concernant les enfants qui n’ont même pas 12 ans ne cessent d’augmenter.
Un enfant a besoin de se sentir aimé, écouté et respecté. Il a besoin d’être compris.
Quand un enfant se suicide, c’est qu’il est à bout, c’est qu’il n’en peut plus.
Il est important en amont d’agir pour déceler son mal-être et l’aider dans ses soucis afin d’y mettre un terme.
La société nous pousse à la réussite. De ce fait, les parents « imposent » aux enfants beaucoup de pression et de plus en plus tôt.
Les enfants ont l’obligation de réussir. Le gros problème, c’est qu’en-dehors de ces exigences, il n’y a pas ou peu de communication.
Il y a un manque d’écoute, il y a un manque de compréhension. L’enfant est livré à lui-même face à ses soucis. L’enfant préfère garder pour lui ses malheurs que d’en parler aux parents et de se faire gronder une énième fois. Parfois c’est par honte ou par peur qu’ils n’osent pas faire part de leur mal-être.
Ce qui peut paraître anodin pour les adultes peut être un lourd fardeau à porter pour les enfants et les jeunes. Chacun ayant son propre degré de sensibilité, il est essentiel de ne négliger aucun souci évoqué par un enfant.
Bien souvent, l’enfant doit affronter ces calvaires seul, sans pouvoir s’exprimer et en parler. Car en parler est synonyme de sanctions de la part des agresseurs.
Il n’y a pas de structure apte à écouter l’enfant qui vit tous ces malheurs. Il n’a pas besoin d’être étiqueté sans rien de concret pour l’aider.
Le mauvais comportement, aussi bien des adultes que des jeunes, impacte directement et indirectement les publics fragiles que sont les enfants et les jeunes.
Il est temps de tirer la sonnette d’alarme et d'agir !!!
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