Rendez-moi mon fils

Le 18/08/2018

Bonjour,

J'ai bien vu Sonny 1h vendredi 17 août 2018, la visite en elle même s'est bien passée, Soso était content de me retrouver et on était tous les deux tristes de devoir se quitter si vite à peine retrouver...

Sinon la référente de l'ASE s'est permise de faire faire un vaccin à mon fils sans mon accord en passant par le père pour obtenir son accord et sa signature, ce qu'il a fait bien sûr... alors que je lui avais dit que je voulais être présente lorsque mon fils a des soins x ou y à faire ou des vaccins ou autre. Sonny a un médecin traitant et sa maman doit être informée avant chaque démarche en ce qui concerne la santé de Sonny mais là aussi on me met a l'écart, on écoute pas mes demandes, on passe par papa pour le faire...

Ils ont donc fait le vaccin à Sonny... Sonny lui me l'a montré à sa façon quand elle a vu que je l'avais vu, je lui ai dit qu'elle avait agi dans mon dos en se servant du père. J'ai fait les photos, elle a vu aussi, je lui ai dit d'appeler notre médecin traitant car je voulais faire constater par certificat qu'il a fait le vaccin et de plus faire constater qu'il n'a pas une réaction allergique car sa cuisse est rouge et très enflée, et cela n'est pas normal, photo à l'appui... J'ai envoyé un message au père puisqu'il est copain avec eux pour qu'il fasse vérifier et qu'il surveille la santé de son fils puisque il veut s'en mêler...

Ensuite, pareil pour l'école, pour sa première fois je l'avais inscrit dans une école qui me semblait adapté à Sonny et que j'avais choisi là aussi dans mon dos et sans mon consentement, sans ma signature ils ont demandé au père, le père a signé et ils l'ont changé d'école et on me dit que si je suis pas contente, je dois écrire au juge... Ils se servent du père pour pouvoir faire affaire parce que moi je leur dis non pas comme ça ou non pas ci ou là, mais je suis encore sa mère et j'ai le droit de savoir sa santé et de dire ce qui convient le mieux à son éducation...

Mais apparemment pour l'ASE et son père, je n'ai pas mon mot à dire juste je dois fermer ma gueule sous peine et menace de plus avoir de visite... Voilà ce qu'elle m'a dit quand je lui ai dis d'appeler la police et le médecin pour faire constater que mon fils n'avait pas de réaction allergique, elle m'a dit "je peux mettre fin maintenant à la visite d'aujourd'hui et je peux aussi dire au juge que ça se passe mal", en gros et mettre fin aux autres définitivement... En clair je n'ai droit que de me taire et eux peuvent faire ce qu'ils veulent et comme ils veulent avec mon petit garçon. Et bien non je ne suis pas d'accord, je vais donc voir si je peux déposer plainte pour abus de pouvoir, atteinte à l'autorité parentale... Parce qu'il est hors de question que le père et l'ASE soient complices dans mon dos et qu'ils fassent ce qu'ils veulent de Sonny...

Mesdames, Messieurs, bien a vous 

Le 17/08/2018 : 

Bonjour à tous,

Après une longue attente, j'ai des nouvelles de l'ASE et de madame la juge des enfants, sur leur nouvelle décision sur mes droits de visite... J'ai le droit de voir Sonny 1h tous les 15 jours et aucun contact aucun autre même téléphonique, on me coupe le lien et on prive Soso de son lien maternel... Son père lui peut le voir toute une journée 1 fois par semaine... Ils me disent que c'est comme ça, que c'est le jugement et que le fonctionnement de leur institution travaillait ainsi et qu'on devait travailler ensemble la remise du lien mère/fils... Aberrant, c'est eux qui privent un enfant de sa maman et de nos liens et je dois travailler pour que mon fils m'oublie et me rejette voilà la vérité du travail du lien... et comme il me verra que très peu, il va croire que je l'abandonne mon bébé...

C'est horrible cela s'appelle une violation du droit de l'enfant en le privant de ce qu'il a de plus cher : sa mère... mais on me dit que non, que c'est moi qui sait pas me remettre en question et que je dois accepter son placement et reconnaître ma culpabilité à toute cette histoire et surtout là où j'ai rien fait rien à voir... Je n'ai toujours pas le droit de savoir où il se trouve ni où ni chez qui, ni de l'avoir au téléphone... ils m'avaient promis des photos que j'attends toujours. 2 mois déjà il me manque... Ce qu'ils font est inhumain et je comprends que des gens puissent péter les plombs dans de telles conditions...

Nous devons nous défendre sans courber l'échine ni faire le mouton en respecter le droit la loi et la vraie justice... Parce qu'elle existe celle qui sanctionne aussi les sociaux et les justiciable, celle qui ne baffoue par le droits des enfants, le droit des familles ni des conventions européennes, celle qui a plus de cœur que de mépris, oui je confirme elle existe cette justice là... mais le combat va s'avérer long et douloureux... Si je pouvais obtenir la clémence et le retour de mon enfant ça serait génial, qu'il puisse comprendre que je ne suis qu'une mère qui aime son enfant et que c'est comme cela que je suis et en tant que telle que j'ai agit comme n'importe qui à qui l'on dit que l'on va prendre son enfant... Il dit non ou il refuse mais si on lui dit ''non ben voilà moi j'ai su j'ai paniqué et voilà je me retrouve en CRPC en octobre 2018 pour soustraction de mineur avec circonstance aggravante international... minimum 3 ans de prison et 75000€ d'amende... oui c'est comme cela qu'ils appellent la fuite et l'enlèvement de mon propre enfant parce que pour eux je l'ai enlevé mais pas pour moi, je suis juste partie avec lui par ce que je refusais que Sonny soit placé de le donner aux services sociaux... Seulement je souligne encore que le message vocal de cette éducateur me disant qu'on allait placer mon enfant ben si je l'avais pas eu peut être que toute cette suite ne serait sûrement pas arrivé d'ailleurs, et que je serais pas partie avec mon fils, encore une raison qui leur permet du coup de justifier et de prolonger son placement... enfin bref sinon pour la personne chez qui cet incident c'est passé, cet homme qui ne m'a pas réveillée et qui a laissé mon enfant livré à lui même ce matin-là, m'a fait une attestation de témoin où il reconnait sa responsabilité et son intention et où il reconnait que je ne suis pas responsable, comme on a pu le décrire suite à tout cela...

Voilà, donc il reconnait que c'est lui qui nous a mis dans cette situation et demande le retour de Soso chez sa maman... Mesdames messieurs... Suite à tout cela et ces nouvelles, je voudrais encore vous remercier pour vos signatures, vos commentaires, vos témoignages, vos partages... l'Union fait la force... Tous unis pour que Soso retrouve vite sa maman et que cette malheureuse injustice soit réparée, que la maman puisse reprendre le cours de sa vie en toute sérénité....

Le 30/07/2018 : 

Bonjour à tous et toutes,

Tout d'abord merci pour votre soutien, vos signatures, vos commentaires, qui me donnent chaud au coeur, je me sens moins seule. Du coup pour ceux et celles qui se posent de nombreuses questions je tiens à vous informer que mes droits sont réservés, ce qui veut dire que je n'ai pas le droit d'avoir de contact avec mon enfant. Cela fait 1 mois que je ne sais pas où est mon enfant si ce n'est qu'apparemment il serait placé en famille d'accueil dans mon département... Mais cela n'est écrit nul part, ni dans le jugement, il aurait soit disant été mis sous protection mais là non plus il n'y a aucun écrit, aucune notification à ce sujet, ce qui est illégal. Pour le papa, nous ne communiquons pas et lorsqu'il fait semblant d'être gentil avec moi, il me soutire des renseignements et s'en sert contre moi en suivant puisqu'on retrouve ses mots et les miens dans le dernier jugement demandant le placement.

Depuis, monsieur a des droits de visites tous les samedis de 10h à 18h et à partir de décembre le week-end en hébergement, tous les 15 jours alors qu'un jugement cour d'appel JAF avait été rendu 1 semaine avant et la juge des enfants a fait entrave à un jugement déjà rendu en lui donnant plus de droit que la cour d'appel. L'ASE me dit que les droits ont été appliqués et là aussi il n'y a aucune notification précisant qu'il recevait son fils chez lui ou en médiation et là non plus ils ne veulent rien me dire... Je précise que le père m'a déjà enlevé mon enfant de ses 2 mois à ses 9 mois, que je me suis battue la première fois pour avoir la garde de mon petit garçon et que j'ai déjà souffert de cet enlèvement parental pour lequel il n'a pas été inquiet... De plus, il m'a violé, battu et fait des choses horrible ou là encore on me disait qu'il n'y avait pas de certificat médical... il n'a jamais payé la pension alimentaire même à l'huissier... nous sommes passés en correctionnel, moi pour non représentation d'enfant car il se permettait de recevoir des junkie seringue au bras chez lui et le correctionnel m'a relaxé, lui n'a pas été jugé pour le non paiement de la pension alimentaire. En gros monsieur a tous les droits, droit de me faire du mal,  droit de nuire, droit de voir son enfant, droit à tout pendant que moi je n'ai droit à rien, que je ne sais pas où est mon fils, que la référente de l'ASE ne me donne que de brèves nouvelles, me disant qu'il va bien... Mais là encore aucune preuve qu'il va bien... J'espère avoir un peu répondu à vos questions... Je vais être jugée au mois d'octobre pour soustraction de mineur.

Mesdames, Messieurs, veuillez agréer mes Salutations distinguées.

Sandra.