Madame La Ministre de l'éducation, Caroline Désir, a modifier le calendrier scolaire des primaires et secondaires en FWB dès la rentrée de 2022 sans le consentement de la population
Le projet global de cette réforme est d'alterner 7 semaines de classe, et deux semaines de vacances. (7 + 2)
Sans consulter les parents qui devront encore s'organiser avec leurs patrons privera les enfants des beaux jours d'été et de la luminosité pénalisera les saisonniers a la cote
Les parents séparés qui devront jongles avec les dates disponibles
Les vacances de Toussaint et de Carnaval passeraient d'une, à deux semaines. (il fera mauvais et les enfants devront encore rester à l'intérieur)
Pour les vacances d'été, étalées sur deux mois,ils devraient être raccourcies d'une ou de deux semaines. Et donc, l'école serait obligatoire encore toute la 1re semaine du mois de juillet enfermé au lieu de profiter du soleil de la luminosité.
Aure voir les vacances moins chères pour les familles qui partaient fin juin pour économiser 500 euros de réduction sur 1 semaine de vacances en été !!! Les hôteliers vont s'engager à réduire leurs prix ?!
Et pour les examens de passage ? Les enfants auront encore moins de jours de congé l'été pour étudier et profiter un peu.
Avez-vous demandé aux instituteurs s'ils sont vraiment favorables à cette proposition ?!
Mais aussi, pour les parents, qui ont souvent une vingtaine de jours de congés par an, il va falloir payer encore plus de stages pendant l'année pour pouvoir faire garder ses enfants !
Pensez-vous que les patrons accepteront de donner une semaine pour garder nos enfants et on devra encore s'organiser.
Ou alors faite une loi pour les patrons qui permette aux parents de prendre une semaine de congé.
Et les parents séparés qui devront s'organiser pour les gardes
La proposition serait d'annuler 1 des 2 semaines de congés en mai pour garder la fin de l'école le 30 juin comme c'est le cas actuellement.
Surtout en Flandre, ils ont refusé de voter le projet une bonne chose, mais nous ici a Bruxelles, nous subissons sans nous demander notre avis.