Laissez le choix aux parents de faire porter ou non le masque à leurs enfants

Lettre écrite au directeur et à la directrice de l'école de mon fils.
La réponse a été d'en faire part à l'académie, ce que nous allons faire aussi.

Monsieur le ministre, laissez les parents, responsables légaux et être libres, décider  pour leurs enfants.

Voici la lettre, étayée par des informations précises, fiables de sources sûres, à la fois scientifiques, médicales et juridiques : 

"Je vous écris en tant que déléguée des parents d’élèves, adulte et maman responsable et en tant qu’être humain libre.
Suite aux annonces gouvernementales, les enfants à partir de 6 ans seraient dans l’obligation de porter un masque à l’école. Nous souhaiterions connaitre votre position sur ce sujet en tant qu’êtres humains et quelles sont vos décisions en tant que directrice d’école et directeur de collège.

Le parent est seul responsable de la santé de son enfant. Nous vous demandons de nous laisser choisir pour nos enfants.
L’état n’a pas à décider de ce qui est bon pour notre santé ou non. En effet, vous le savez j’en suis sûre, dans la hiérarchie juridique, un décret est inférieur à la loi qui est elle-même inférieure à la Déclaration Universelle des Droits de l’Humain.

Article 16 du Code Civil Français :
Le masque, portant atteinte à l’intégrité physique par l’abaissement de l’oxygénation du corps, et portant atteinte au droit fondamental et inaliénable de respirer, ne peut en aucun cas être obligatoire. Cette obligation est donc totalement illégale.

Article 225-4-10 du Code Pénal :
-le fait pour toute personne d’imposer à une ou plusieurs autres personnes de dissimuler leur visage par menace, contrainte, abus d’autorité ou abus de pouvoir, en raison de leur sexe, est puni d’un an d’emprisonnement et de 30000€ d’amende.
« Lorsque le fait est commis au préjudice d’un mineur, les peines sont portées à 2 ans d’emprisonnement et à 60000€ d’amende ».

Article 122-7 du Code Pénal :
« N’est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s’il y a disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace ».

Article 223-1 du Code Pénal :
« le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entrainer une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000€ d’amende ».

Obliger à respirer dans un masque :
-diminue l’apport en oxygène dont nous avons besoin pour vivre et être en bonne santé, augmente l’acidité de notre corps et rend la respiration difficile (malaises, maux de tête…).
-augmente l’inhalation des toxines que nous respirons piégées dans le masque et sont directement renvoyées dans nos poumons entrainant un danger d’infections respiratoires.
-détérioration de notre système immunitaire, diminution l’apport en oxygène, augmentation de notre propre gaz carbonique ainsi que l’accumulation des virus et bactéries exhalés naturellement de notre corps peut engendrer des conséquences graves.

De plus, c’est l’outrage à notre dignité humaine et un non-respect de l’état de droit à titre privé.

Concernant les aspects biochimique et quantique de notre corps, notre système immunitaire est boosté en interne (entre autres !) par ce que nous fabriquons comme hormones : ocytocine, dopamine, sérotonine et endorphine ; les hormones du bonheur ; stimulées par le rire, la gratitude, les câlins, la danse, le chant, la nature, les bons moments, la méditation, le sport, le bon sommeil, les bonnes actions, l’empathie, la compassion…. Notre système immunitaire est donc boosté par les bonnes vibrations : générosité, compassion, gratitude, amour pour tous les êtres vivants.

Par conséquent, obliger les enfants à porter un masque est non seulement illégal mais dangereux et irresponsable. Les séquelles sur leur santé émotionnelle et psychologique vont être plus importantes que les bénéfices sur leur santé physique.
Et comme dit le Dr Louis Fouchet, « les décisions en médecine sont prises en pesant les bénéfices et les risques ».
Et comme vous l'avez dit vous-même, c’est une décision de prudence puisque « la contagiosité des petits enfants vers les adultes est semble-t-il faible ».

Je vous demande donc de laisser les parents choisir pour leur enfant, selon leurs besoins et leurs croyances.


Bien cordialement"