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Pétition

Mes enfants ne retourneront pas à l'école le 11 Mai 2020, sans garanties.

Mes enfants ne retourneront pas à l'école le 11 Mai 2020, sans garanties. Pétition
4.543 signatures
Encore 457 signatures pour que cette pétition soit plus susceptible d’atteindre son destinataire !
Auteur
Auteur(s) :
Union Nationale Des Citoyens Francais et AJIDH justicefirst of world
Destinataire(s) :
Emmanuel Macron (Président de la République)
Jean-Michel Blanquer (Ex Ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse)
Edouard Philippe (Ex Premier Ministre)
La pétition

NOS ENFANTS NE RETOURNERONT PAS A L’ÉCOLE LE 11 MAI 2020 ,


SANS GARANTIE, 


La réouverture progressive des écoles nous a été annoncée pour le 11 mai 2020, vos porte-paroles disent :  qu’ il s'agit d'un "vrai choix du président", qui espère ainsi "lutter contre les inégalités sociales et aider à la reprise du travail." À partir du 11 mai, crèches, écoles, collèges et lycées rouvriront "progressivement" 


Nos enfants ne retourneront pas à l'école le 11 mai. Sans tests massifs permettant de suivre précisément la situation épidémiologique et de confirmer que le risque est effectivement suffisamment faible 


L’École ou la Vie, notre choix est fait, Monsieur le président !


Après quatre semaines de confinement, le bien-être des enfants et le risque de contamination intra-familiale nous préoccupe également de plus en plus.  Jusqu’à l’heure d’aujourd’hui, le nombre de vos mesures prises, monsieur le président n’est pas suffisant au regard de la courbe montante exponentielle des morts toujours observées, pour garantir notre sécurité. Nos vies restent exposées au danger. 


Nous parents refusons de mettre nos enfants dans les établissements scolaires le 11 mai 2020. 


Et invoquant nos droits de parents selon les lois en vigueur de notre pays. La loi n°2002-305 du 4 mars 2002 a remanié l'article 371-1 du Code civil en disposant que "L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant". Elle appartient au père et à la mère jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé, et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité..


Nous vous rappelons du reste qu’il y a plusieurs plaintes en cours, contre vous Monsieur le Président et votre gouvernement, plaintes portées par notre peuple dans notre pays mais aussi au niveau international :


Nous sommes conscients que la loi c’est vous, et que malheureusement les politiques sont au-dessus des lois, puisque plus de 500 plaintes contre votre gouvernement ont été classées sans suites.


Attendu que 500 plaintes contre M. Castaner, Ministre de l'intérieur de la France ont été classées sans suite, nous citoyens Français, soucieux de la préservation des libertés publiques, horrifiés par les mutilations extrêmement graves infligées à des manifestants pacifiques ou à des passants, les citoyens ont saisies les procureurs de la Cour Pénale Internationale pour des faits graves, sans précédents en France depuis des décennies.
ONU Info


Nous sommes conscients que toutes les plaintes à la cours de justice de la république française, n’aboutiront jamais.


De plus au sein du collectif nommé C 19, plus de 600 médecins ont porté plainte jeudi 19 mars contre votre ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et le premier ministre Édouard Philippe qu'ils accusent de «mensonge d'État» dans leur gestion de la crise d'épidémie de coronavirus. Les trois médecins fondateurs de ce collectif - Philippe Naccache, Emmanuel Sarrazin et Ludovic Toro - ont pour ce faire saisi la Cour de Justice de la République.


Une plainte pénale a été déposée le 19 mars devant la Cour de justice de la République suite à l'interview d'Agnès Buzyn au journal Le Monde, parue le 17 mars dernier. «En substance, elle explique qu'elle savait tout et n'a rien fait», déplore Fabrice Di Vizio.


La plainte vise l'article 223-7 du code pénal, selon lequel « quiconque s'abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende ».


Sans compter que plusieurs milliers de pétitions sont en lignes contre vous même et votre gouvernement.


Nous sommes conscients que vous ignorez toutes nos pétitions en cours qui dépassent les 250000 signatures.


Depuis le début de cette crise sanitaire, vous nous avez tellement promis Monsieur le président, quant aux moyens mis en œuvre pour préserver à tout prix la sécurité de tous et endiguer ce fléau. Pourtant l’aggravation de la propagation meurtrière du virus dans notre pays parle d’elle-même et laissent comprendre qu’il y a eu dissimulation ainsi que de vrais mensonges d’état proférés. A quelles fins, on ne le sait pas. Les masques et les gels ne sont toujours pas distribués, les hôpitaux de France manquent de moyens. les pharmaciens ont reçu des ordres d’’interdiction de nous vendre les masques. Comme l’indique le quotidien de santé du 07/04/2020


« Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) ont immédiatement réclamé aux pouvoirs publics de pouvoir fournir ces masques non sanitaires. »


Sans compter que le personnel de santé est lui-même fortement contaminé et ne dispose d’aucun moyen de protection suffisant. Nous en sommes venus à ce que la population et des associations se mettent à leur fabriquer des masques par solidarité spontanée face au dénuement insoutenable de nos soignants sommés de nous sauver, au péril de leurs vies. Depuis le début de l'épidémie de Covid-19, on ne compte plus le nombre de soignants contaminés. Dans la Nièvre, à Cosne, un hôpital a dû fermer. Tout son personnel est touché par le virus.


Quand à nos morts, monsieur le président, ils dépassent le chiffre que vos medias annoncent. Les patinoires de notre pays  sont remplies de cadavres qui attendent d’être enterrés à ce jour, certains défunts sont brûlés par manque de places pour les enterrer dignement.


Dans ce contexte chaotique ou rien ne semble maîtrisé, vous décidez que le 11 Mai 2020 sera la journée du déconfinement pour nous et nos enfants. Comment est-ce possible de vous faire confiance et retourner travailler, et mettre nos enfants à l’école comme des moutons sont ramenés à l’ abattoir, la contamination galopante pouvant reprendre son élan ?


Sans aucune garantie pour nos vies et celle de nos enfants :


Êtes-vous vraiment sérieux, Monsieur le président ?


Les syndicats des enseignants refusent de prendre ce risque, et à l'issue de votre discours annonçant la réouverture progressive des écoles, cela a suscité l’inquiétude et la critique de tout le corps enseignant.

Avant même le confinement, le Snes-FSU (2d degré) avait pointé la difficulté de respecter les gestes barrières dans les établissements scolaires. Pour Romain Allard, secrétaire du Snes dans la Loire, "ces difficultés subsistent". Nous les citons :
 "Comment respecter les gestes barrières dans des classes accueillant 30 élèves en collège et 35 élèves en lycées? Plus généralement, comment respecter les gestes barrières dans les lieux de passages des collèges et des lycées où se croisent des centaines de personnes par jour?", témoigne le représentant départemental. 


Vous semblez encore une fois vouloir suivre votre feuille de route sans vous soucier de votre peuple ni des conséquences. 


Et bien, il est temps que nous parents , vous disions : « Non, Stop » ! Nous refusons de mettre nos enfants dans les établissements scolaires, sans aucune protection et garantie, cela mettant en danger leurs vies ainsi que la chaîne intra-familiale, déjà éprouvée à l’intérieur de ce confinement. Puisque vous êtes au-dessus de tous les protocoles sanitaires et au-dessus des lois de ce pays, nous prenons la responsabilité de garder nos progénitures chez nous. Nous invoquons nos droits de parents, pour protéger nos enfants.


Union Nationale Des Citoyens Francais et AJIDH justicefirst of world

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1.711 commentaires
Le 15/04/2020 à 13:14:54
MACRON A BIEN DIT QUE CE N'ETAIT PAS OBLIGATOIRE!! DONC, GARDEZ VOS ENFANTS SI VOUS LE SOUHAITEZ
5 0
Belkebir - Le 14/04/2020 à 20:23:44
Car je ne mes trés pas a fille a l ecole
4 0
Marcel - Le 15/04/2020 à 08:45:21
Les gouvernants ont perdu la raison tout simplement.
Le fric,le fric,le fric c'est tout pour eux.
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