La communauté internationale doit prendre des mesures audacieuses pour empêcher l'exécution de trois manifestants torturés
Répondant aux craintes suscitées par l'exécution imminente en Iran de trois manifestants - Majid Kazemi, Saleh Mirhashemi et Saeed Yaghoubi - d'Ispahan après que les médias d'État ont diffusé leurs « aveux » forcés et que la Cour suprême a confirmé leur condamnation injuste et leur condamnation à mort malgré la torture et les préoccupations relatives à un procès équitable
et l'augmentation alarmante des exécutions de prisonniers (militants et non-militants des manifestations #Iran) dans diverses prisons à travers l'Iran, à savoir Bandar Abbas, Minab, Khorram Abad et Rasht.
La plupart des victimes sont torturées pour de faux aveux
Dans le cas récent de trois imates attendant d'être pendus, Majid Kazemi a déclaré dans un message enregistré :
« Je jure devant Dieu que je suis innocent. Je n'avais aucune arme sur moi. Ils [les forces de sécurité] n'arrêtaient pas de me battre et de menacer de me violer avec une matraque... et m'ordonnaient de dire que cette arme était la mienne. … Je leur ai dit que je dirais tout ce qu'ils voulaient, s'il vous plaît, laissez ma famille tranquille. J'ai fait ce qu'ils voulaient à cause de la torture.
En tant que communauté, nous condamnons un tel déni systématique et ouvert du "droit à la vie". La peine de mort est dans tous les cas la peine ultime, cruelle, inhumaine et dégradante. Nous demandons à nos politiciens de réprimander les violations sans précédent des droits de l'homme fondamentaux par l'Iran et de garder cette priorité dans la politique envers l'Iran. Les droits de l'homme ne doivent pas être lapidés.
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