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Pétition

Demande de reconnaissance de l'hypnose comme violence et danger

Demande de reconnaissance de l'hypnose comme violence et danger Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Marie
Destinataire(s) :
Ministre de la santé
La pétition
Demande de reconnaissance de l'hypnose comme une violence potentiellement conséquente et comme un grand danger pour une personne avec mon profil spirituel

2012, une fatwa sur moi commence, mais mon mari ne me dit pas qu'il est en train de me répudier.
Juillet 2015, je ressens que mon concubin a dû déjà tuer quelqu'un, et qu'il doit participer à des enlèvements d'enfants. Je souhaite me séparer du futur père de mon fils (je ne suis pas encore enceinte). Sans que je puisse savoir ce qu'il m'arrive, il me met sous hypnose forte. Je ne vois plus passer les semaines et je n'arrive plus à prendre de décisions, ressenti dont je m'aperçois seulement deux après environ, quand j'ai finalement réussi à me séparer et m'éloigner de lui. Mon fils est déjà né…
Plus tard il me parle un jour de Bachar Al Assad, comme si je le connaissais. Je ne l'ai jamais contacté, je ne le connais pas du tout.
A cause d'un passage de l'Evangile, sur la Reine du Midi, je m'étais renseignée sur qui sont les Ninivites aujourd'hui. J'avais trouvé que c'est la Syrie qui correspond à ce peuple.

2024, je continue de subir ma fatwa familiale (ex-mari origine orientale) très usante depuis 2012, divorce avec mon mari à cause d'une enquête de Police le concernant, mon avocat me dirige vers le divorce, mon couple étant déjà trop abîmé car mariage mensonger au départ. Il m'a simplement répudiée sans me donner d'écrit. Mes parents ont pris le parti de mon mari et m'ont enfoncée. Notre ménage a déraillé et il y a eu à ce moment là un signalement à l'école sur ma fille. Depuis c'est la chambre à gaz psychologique sans mes enfants ...
Il n'y a pas de loi contre les fatwa en France… Mes amis de longues dates et amies d'enfance m'ont soutenues, car je suis quelqu'un qui reste dans mon coin, j'étais rangée avec mon mari à m'occuper de mes enfants en bas âges et travaillant à mi temps. Ils et elles ont eu de graves problèmes. L'hécatombe aussi, pour des membres de ma famille. Un expertise psychiatrique me rend la garde de mes enfants, indiquant que je suis inoffensive. Un an seulement car les sournoiseries s'intensifient. Je ne peux pas me battre contre des dizaines d'hommes du milieu des règlements de compte sur des années … Etant en plus une naïve, évoluant dans le milieu scientifique sérieux.

Il continue d'y avoir des dégâts parmi les personnes qui m'aident que je connais moins maintenant, que je contacte moins et qui ne savent pas qu'il n'y a plus aucun espoir pour que je revois mes enfants, ainsi que je ne demande plus d'audience pour ouvrir des droits. Ces aides sont perçues comme une continuité de combat contre les deux pères de mes enfants alors qu'il n'y a plus aucun enjeu, que j'ai tout perdu. Ma volonté d'apaisement n'est pas suivie. Je ne sais pas à l'avance qui va m'aider sur quoi et quand ...…............…. Finalement quand on me fait la corrida, je demande des aides d'urgence pour femmes violentées car là j'en ai vraiment besoin, par exemple d'un logement d'urgence pour ne pas être à la rue, et là, il n'y en a pas ...

50 000 euros de frais de déménagement et de salaires d'audience, pour protéger les enfants et moi ….. totalement inutiles ……… Je suis ruinée………
Je n'ai jamais rien fait d'autre que de demander des droits légalement pour voir un peu plus mes pauvres enfants qui n'ont rien fait à personne.
Entre temps j'ai craquée nerveusement, été soignée et mise sous curatelle renforcée.

Environ le 27 juin 2024, un homme m'aborde. Je ne le sais pas mais il est très renseigné sur moi. Je lui ouvre la porte de chez moi beaucoup trop tôt... Je lui dis le 2ème jour : toi, tu me frapperas dans un mois. Il m'a répondu pas du tout, qu'il m'aimait , il fallait que l'on se marie, etc... Et un mois après, ça a été le cas, il m'a frappée. Quand il a été mielleux les premiers jours, j'ai commencé à m'apercevoir qu'il avait de forts supports informatiques et réseaux avec lui. Il a totalement mis la main sur ma vie. Il me lave le cerveau en me harcelant. Il m'a fait beaucoup d'autres maltraitances.

Le 5 octobre 2024 est le dernier jour où je sors avec lui. Alors que j'ai réussi à me séparer une ou deux fois de lui déjà, toujours sous son influence, je sors malgré tout faire une course avec lui. Nous buvons des bières ensemble, il a surement mis quelque chose dans mes bières… je pense que oui.
Il veut m'emmener quelque part plus loin en voiture mais je refuse. A un virage serré en centre ville, je détache ma ceinture et réussis à descendre de la voiture. Il n'y a pas d'hommes proches de moi sur mon trottoir. Nous sommes à l'entrée d'un parking commercial.
[RIEN]
Le souvenir fort de vouloir sortir de la voiture présent dans ma tête, m'aide à sortir de la voiture, je détache ma ceinture et j'ouvre la portière. Je réussi à descendre …………… Je pose les pieds à terre, je suis à la sortie du parking, de l'autre côté, 60 mètres plus loin………………
C'est seulement le soir, plus au calme, que je me souviens que je suis sortie deux fois du véhicule……Pas de souvenir d'y être remontée, pas de souvenir du trajet à l'intérieur du parking.

Le père de mon fils, très heureux, m'annonce qu'il a acheté une voiture télécommandée à mon fils (alors qu'il en a déjà une). Le principe de la voiture télécommandée a l'air très amusant ……………………………………………
Comme je le connais, je dors avec des bassines devant mes portes d'entrée la nuit car je ne sais pas si je vais déverrouiller moi même ma sécurité ……………. DANGER………………………DANGER………………………DANGER………………………

Nous ne sommes pas seuls dans l'épreuve … mais finalement les aides ne sont pas efficaces ou sinon empêchées, quand ce n'est pas les professionnels aidants qui sont pris pour cible. Les situations ne font que s'aggraver …………….
Malgré les "aides", tous mes droits me sont retirés les uns après les autres depuis 12 ans.
A ce jour je suis très isolée et cloîtrée dans mon appartement par précaution. Heureusement je vais pouvoir déménager et je ne serai pas seule.
Mes enfants sont toujours à la garde des deux pères…… Ils m'ont beaucoup pleuré. Leurs souffrances ne font que commencer, ils sont la chose des autres comme moi. Des maltraitances contre eux sont prouvés mais le principal c'est de continuer à m'empêcher de retrouver un travail que j'ai perdu à cause de 3 hommes qui m'ont harcelée. Il n'y en a jamais assez................
Je n'ai plus de droits même de téléphoner à mes enfants, alors même que les pères sont présents.
Il me reste le droit de payer mes impôts, que je paie toujours à ce jour, honnêtement, jusqu'au dernier centime.
Je n'ai pas pu bien relire, étant isolée et affaiblie, pardon pour les fautes de forme ou d'orthographe.

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