L’incitation à la consommation de pop-corn dans les salles de cinéma devient un véritable fléau à la fois pour la santé et pour le confort de celles et ceux qui n’en consomment pas.
Le pop-corn est régulièrement accusé d’être responsable de l’augmentation du taux de protéines bêta-amyloïdes dans le cerveau, favorisant la maladie d’Alzheimer. Par ailleurs, le diacétyle que ce dernier contient peut abîmer les voies respiratoires et causer des maladies pulmonaires.
De plus, qui n’a jamais dû supporter une voisine ou un voisin de siège plongeant sa main bruyamment dans son récipient de pop-corn qui peut atteindre plus de 30 cm de hauteur ? Qui n’a jamais été véritablement dérangé par la mastication permanente de ces personnes quelquefois durant la totalité du film ?
A quand la dégustation de pâtes à la carbonara dans les salles ?
Faisons cesser ces nuisances sonores et olfactives qui perturbent la tranquillité de tous les spectateurs qui payent également leur place.
A une époque où on lutte contre la malbouffe et le grignotage responsable de nombreuses pathologies, en particulier chez les jeunes, il est essentiel de faire cesser ces ventes en contradiction avec une politique sérieuse de santé publique.
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