Après avoir tracé d'immenses cercles jaunes concentriques sur les murs de la cité médiévale de Carcassonne, "l'artiste" Fabrice Varini a renouvelé son "œuvre" sur les ruines de l'abbaye cistercienne de Mazan en Ardèche.
Contrairement à ce qui est dit, ce "geste artistique" n'a rien d'éphémère.
En effet, quatre ans après, la peinture a disparu des murs de Carcassonne mais les traces sont encore bien visibles. Malgré la polémique engendrée par ce gâchis, les services de l'Etat ont permis sa réédition en Ardèche.
Il faut mettre un terme à ce qui relève d'un authentique acte de vandalisme.
Sous un discours pseudo intellectuel, cet art conceptuel tente de masquer sa vacuité en dégradant notre patrimoine.
Les services de l'Etat, à commencer par les ABF, les communes et les régions, doivent mettre un terme à ce scandale.
Il ne faut plus dilapider l'argent public au profit de l'intérêt privé de ces "artistes" mais utiliser ces ressources à la restauration de nos monuments.
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