Je suis un défenseur passionné de mon île, La Réunion, avec son histoire riche et ses musiques traditionnelles.
Le Maloya, musique emblématique de notre île, est plus qu'une simple mélodie pour nous - c'est une partie intégrante de notre identité culturelle. De même, notre langue créole est le reflet de notre diversité et de notre histoire unique. Je défends passionnément mon île et son histoire, en particulier ses musiques traditionnelles.
Nos musiques - le maloya, le tambour malbars, les mélodies des ancêtres de l'Inde, Madagascar et d'Afrique - sont une partie intégrante de notre identité culturelle unique. Elles nous permettent également d'exprimer notre langue créole à travers nos écoles.
Cependant, ces traditions musicales sont menacées par la mondialisation et le manque d'intérêt des nouvelles générations.
Il est essentiel que nous préservions ces éléments précieux pour les générations futures. Nous demandons donc aux autorités locales d'intégrer davantage nos musiques traditionnelles dans les programmes scolaires afin que tous les enfants puissent apprendre et apprécier cette richesse culturelle.
Cependant, ces éléments précieux sont menacés par l'assimilation culturelle et l'érosion linguistique. Selon l'UNESCO, le maloya a été classé en 2009 comme patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente (source : UNESCO). De plus, selon les statistiques du gouvernement local (source : Région Réunion), moins d'enfants apprennent le créole à l'école chaque année.
Nous devons agir maintenant pour préserver ces trésors culturels pour les générations futures.
Nous demandons donc aux autorités locales et nationales d'intensifier leurs efforts pour protéger et promouvoir le maloya ainsi que la langue créole à La Réunion.
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