La porte de la Briquetterie, témoin de la vie industrielle de Rosendaël au début du XXe siècle, élément important du patrimoine local, est menacée de destruction imminente par ses actuels propriétaires.
La Ville de Dunkerque a proposé de l’acquérir pour un euro symbolique et d’en effectuer la complète restauration, permettant aux propriétaires de continuer à bénéficier de la voierie existante leur appartenant.
Ces derniers n’ont pas répondu à cette proposition et préfèreraient, dans un acte de vandalisme incompréhensible, procéder à la destruction pure et simple de la porte. La population dunkerquoise, attachée, à son patrimoine déjà fortement meurtri lors de la dernière Guerre, ne peut accepter cette perte irréparable et demande avec force aux propriétaires d’accepter la proposition communale qui ne les lèse en rien et préserve un élément de notre histoire.
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