Nous avons tous constaté ces étiquettes jaunes sur les oreilles des animaux et c'est inadmissible.
Comment a-t-on pu en arriver là ? La machine administrative ? L'humain fout le camp !
Les animaux ne sont pas des objets. Ce sont des êtres vivants qui sont doués de sensibilité, intelligents, reconnaissants et appartenant à une âme groupe. Cette marque est le symbole même d'une société en décadence qui exploite à outrance les animaux pour ses besoins gustatifs égoïstes. L'homme est le premier prédateur de la planète.
La destination est l'abattoir. L'horreur absolue vu les chiffres. Procédures obsolètes. Pas d'interdiction de l'abattage sans étourdissement ce qui a pour conséquence une torture inutile de l'animal, par inconscience de l'homme à tous les niveaux, exécutants, commanditaires et cautionnaires. La télésurveillance dans les abattoirs est impérative étant donné les bavures d'exploitation.
Ce jour, info des médias, rappel : les pectines dans la charcuterie donnent le cancer. C'est un fait.
Manger végétal. C'est bon pour la santé.
Une société humaine en développement n'a pas le droit de coller des étiquettes sur des animaux, êtres vivants.
Si elle persiste, c'est une régression. C'est une atteinte aux droits des animaux.
C'est une atteinte aux espèces animales qui sont en régression et en voie d'extinction par l'exploitation et le trafic.
Si nous continuons sur cette pente, c'est l'espèce humaine qui est en question.
Ces étiquettes ne sont pas uniquement nationales, elles sont internationales. L'Union européenne doit supprimer ces étiquettes pour attester que le développement du bien-être animal est une priorité dans l'évolution et dans la transition écologique.
Quant à l'exportation des animaux hors de l'UE, elle n'est plus acceptable étant donné les conditions de transport de ces pauvres animaux, mais c'est un autre débat.
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