« La question n'est pas : peuvent-ils raisonner ? ni : peuvent-ils parler ? mais : peuvent-ils souffrir ? », Jeremy Bentham
Le gavage est une pratique où des canards et des oies sont forcés d’ingérer des quantités excessives de nourriture jusqu'à ce que leur foie atteigne presque dix fois sa taille normale et développe une maladie.
Voici des liens pour apprendre plus à ce sujet :
Voir l'article sur
une industrie cruelle, basée sur la souffrance des oies et des canards.Stop-foie-gras.comQu'aurions-nous ressenti si quelqu'un avait ainsi maltraité nos animaux de compagnie ? Les animaux de la ferme ne diffèrent pas de nos amis poilus — ils ressentent de la douleur, de la peur et ils veulent vivre normalement leur vie tout comme eux. Avec la seule différence qu'ils ont le malheur d'être considérés comme des « produits ».
De nombreux pays ont interdit cette pratique barbare : Allemagne, Argentine, Autriche, Danemark, Finlande, Irlande, Israël, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, République tchèque, Royaume-Uni, Suisse, Suède...
Stop-foie-gras.comPourquoi le Québec et le Canada doivent-ils toujours être parmi les derniers en ce qui concerne le bien-être de l'animal ? Nous prétendons être une société civilisée, il est donc important de faire des choix éthiques au lieu de penser à obtenir du profit à tout prix et de torturer des êtres sans défense.
Désormais, les lois ont enfin reconnu que les animaux sont des êtres sensibles. Le Québec, la France et une dizaine d'états européens l'ont admis dans leur constitution ou dans leur code civil. Les animaux sont considérés légalement comme des êtres doués de sensibilité ayant des impératifs biologiques.
Voir la
situation juridique de l'animal.
Pourquoi alors les lois concernant le bien-être de l'animal ne sont pas respectées, et le supplice de milliards d'animaux continue ?
Voici les paroles de
Jeremy Bentham, un célèbre philosophe britannique, qui closent si bien la lettre :
« Le jour viendra peut-être où le reste de la création animale acquerra ces droits qui n’auraient jamais pu être refusés à ses membres autrement que par la main de la tyrannie. Les gens ont découvert que la noirceur de la peau n’est en rien une raison pour qu’un être humain soit abandonné sans recours au caprice d’un bourreau. On reconnaîtra peut-être un jour que le nombre de pattes, la pilosité de la peau, ou la façon dont se termine le sacrum sont des raisons également insuffisantes pour abandonner un être sensible à ce même sort. »
Je vous demande d'ajouter vos voix à ma pétition dans l'espoir qu'elle aidera à arrêter ce supplice.