Stop aux tueurs de chiens !

Il s'appelait BIJOUX.

Fin août 2014, ce petit Yorkshire s'est écroulé brusquement sur la pelouse de l'habitation où il gambadait joyeusement d'habitude. Il se tordait de douleur, vomissait avec les yeux exorbités. Transporté aussitôt devant un vétérinaire, un empoisonnement a été diagnostiqué. Il s'est avéré ultérieurement à l’Éthylène Glycol (liquide de refroidissement pour voitures).

Il a été mis sous perfusion, opéré, sans succès. Il a dû être euthanasié pour abréger ses souffrances.

Une plainte contre X a été déposée par ses maitres, écroulés de douleur. Un faisceau de présomptions avec indices graves et concordants permettait d'identifier un présumé coupable qui a été auditionné par les services de la Police Nationale. Il niait les faits, se réfugiant comme il est courant, sur le manque de preuves qui ont été avalées par le chien.

C'est le troisième chien que cette famille voit disparaitre dans les mêmes conditions, en 1998, 2006 et 2014, toujours au même endroit.

La SPA et la Fondation BRIGITTE BARDOT se constituent partie civile.

Il est sollicité l'appui de très nombreux pétitionnaires qui seront à même de renforcer la plainte déposée auprès du Procureur de la République afin que ce crime ne demeure pas impuni en n'oubliant pas que le Parlement vient de reconnaitre définitivement que les animaux sont " des êtres vivants doués de sensibilité".