Chaque jour, des animaux du monde entier apparaissent dans des vidéos et des publications sur les réseaux sociaux : des singes en détresse, des chiens torturés pour des vues, des animaux sauvages contraints à des rôles non naturels. Ces clips ne reflètent pas seulement la cruauté ; ils
l'amplifient, transformant la souffrance en divertissement et en profit. Des données récentes montrent qu'une seule plateforme a hébergé
87,5 % des liens signalés de maltraitance animale en 2024, avec plus de 80 000 publications de ce type signalées.
https://www.worldanimalprotection.org/latest/news/facebook-leads-in-hosting-animal-cruelty-content/ Mais nous pouvons arrêter cela.
Nous appelons les
entreprises de médias sociaux, les gouvernements et les régulateurs technologiques à :
Appliquer pleinement les politiques contre le contenu de maltraitance animale, en le supprimant rapidement et définitivement.
Exiger des plateformes qu'elles publient des données transparentes sur le contenu de cruauté envers les animaux (nombres supprimés, récidivistes, points chauds régionaux).
Travailler avec des groupes de protection de la faune et du bien-être animal pour éduquer les utilisateurs, afin que les photos et vidéos d'animaux ne soient pas partagées lorsqu'elles résultent de souffrances.
Veiller à ce que l'utilisation d'animaux pour générer des vues ou des profits soit considérée comme un préjudice grave, et non banalisée.
Les animaux ne sont pas des accessoires. Ils ressentent la douleur, la peur et la souffrance. Et lorsque nous faisons défiler, nous devenons partie du problème.
Veuillez
ajouter votre nom et aider à élever notre voix collective : nous devons exiger un internet où la maltraitance animale n'est pas virale, mais invisible, interdite et punie.
Ensemble, rendons les espaces en ligne sûrs pour les animaux.