Pour la création d'un sanctuaire de goélands à la Seyne sur mer
1) Une solution pour éloigner les goélands de la ville et des zones industrielles
2) Préserver la biodiversité, l'équilibre naturel
3) Mieux connaître et cohabiter avec le goéland leucophée
4) Sensibiliser au respect de la faune et de la flore
Pour remédier au problème d'invasion de goélands dans nos rues et sur les toits des bâtiments.
Il faudrait repousser cet oiseau vers ses habitudes et son habitat naturel.
Responsabiliser les élus et les citoyens sur le plan des ordures qui débordent.
Bennes ouvertes, sacs mal fermés, déchets ou restes de nourriture jetés dans la rue ou aux oiseaux.
Verbaliser, sanctionner les actes d'incivilité, (crachats, urines, barbecue, chiens en surnombre non tenus en laisse qui se défoulent sur la plage ou le sentier du littoral etc..).
L'urbanisation, les nuisances, les pollutions issues de l'activité humaine notamment dans la baie des Sablettes et sur le sentier littoral sont telles, qu'elles empêchent les oiseaux de se reproduire et de nicher dans les rochers, sur les pans de colline qui bordent la mer, de St Mandrier au Cap Sicié.
Les engins motorisés, les lumières perturbent l'écosystème. L'activité est incessante, en toute saison, pêche, voile, surf, paddle, scooters des mers, bateaux tractant, kayak, manœuvres militaires, passage des ferrys au large, le site est sur fréquenté.
Impossible également pour de nombreuses autres espèces de se régénérer, de prospérer de vivre en paix.
Pour le bien-être commun il est temps d'agir.
- Mettre en œuvre un plan de structuration pour la création d'un observatoire des oiseaux marins, un poste de secours.
- Définir une zone "tampon", "protégée" (minimum 300 M ) où la pêche, le prélèvement,
L'activité nautique, les festivités et même fumer seraient interdits, à l'image de l'île de Porquerolles ou de l'îlot Goéland en Nouvelle-Calédonie.
Chaque année, dans le Var, des centaines de goélands sont victimes d'accidents routiers, d'empoisonnement, d'actes de cruauté.
Il n'y à aucun centre de soins qui leur est destiné et peu ou pas de vétérinaires spécialisés.
Pourtant cet oiseau est une espèce protégée. Il est malheureusement d'office euthanasié si les ailes sont cassées.
Or...Il est possible de les soigner. Avec un peu de bonne volonté, d'expérience, aidé d'une structure ou d'un espace adapté.
Merci de signer cette pétition, si vous approuvez sa revendication, sa proposition, afin d'aider à la réalisation du projet de sanctuaire d'oiseaux marins.
;)
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