Un cheval est mort d’épuisement en Espagne après avoir tiré des touristes en calèche jeudi 13 août à Barcelone. Son propriétaire a préféré le laisser agoniser pendant 2 heures sur la route plutôt que d’avoir à payer le vétérinaire.
Un cheval qui agonise au beau milieu de la route, en pleine ville. C’est à cette scène rare qu’ont assisté, impuissants, les habitants et touristes de Barcelone, la capitale administrative de la Catalogne. L’animal est mort d’épuisement et de la négligence de son propriétaire. Ce dernier l’a laissé agoniser pendant 2 heures sans avertir les services vétérinaires pour ne pas dépenser d’argent, selon une association de protection des animaux. Il faut d’ores et déjà punir ce bourreau.
Le cheval était exploité pour tirer une calèche transportant des touristes. Son épuisement est dû à un coup de chaud et à une déshydratation. La mairie de Barcelone a indiqué que d’éventuelles sanctions administratives seraient dirigées contre les auteurs de cette négligence. La police, pointée du doigt pour avoir tardé à prévenir les services vétérinaires, a pour sa part ouvert une enquête pour maltraitance d’animaux. On ne peut pas rester sans réagir.
On pourrait, certes, faire surveiller le nombre de personnes transportées, alléger les calèches, contrôler le nombre de déplacements et le traitement de l’animal, désormais considéré comme être sensible.
Mais le mieux serait de demander l’interdiction de ce type de transport, dans tous les pays touristiques. Il faut absolument que les touristes s’abstiennent d’utiliser ce mode de transport d’un temps révolu. Il y a d’autres façons de visiter une ville sans avoir à exploiter un animal tracté par une calèche, souvent beaucoup trop lourde pour un animal, même vide. On n’est plus à l’heure de la noblesse dans son carrosse. Partir en randonnée dans la ville sera bénéfique pour la santé et permettra de voir bien plus de choses.
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