Les chevaux qui tirent les calèches passent leurs journées, quelles que soient les conditions climatiques, à effectuer leur travail dans le seul but d'enrichir les sociétés qui les exploitent. Nous entendons fréquemment parler de chutes causées par la fatigue des chevaux, entraînant des blessures. Il est évident que ces "accidents" sont davantage causés par l'épuisement des animaux.
Il est grand temps de mettre un terme à cette exploitation abusive.
Au mépris de toute éthique et de toute raison, malgré la tendance mondiale visant à interdire les calèches dans les villes, le Conseil municipal de la Ville de Genève a autorisé "les attelages du Léman" à exploiter des chevaux pour des calèches touristiques.
Les conditions dans lesquelles ces chevaux travaillent sont inacceptables. Ils sont exposés à des températures caniculaires, à une circulation intense et à l'inhalation de gaz d'échappement. Ils subissent un stress constant dû aux bruits, à l'agitation et aux bruits impromptus des véhicules et des chantiers. Ils marchent longuement sur une surface chaude et dure, travaillent de longues heures et portent des charges très lourdes. Sans oublier les coups de fouet, la station debout prolongée et le manque d'eau.
De nombreux pays et nations ont déjà interdit ces pratiques d'un autre siècle.
Nous devons prouver que Genève accorde une réelle attention au bien-être animal !
Manifestons notre désapprobation en signant cette pétition et en la partageant sur les réseaux sociaux
Ensemble, disons STOP AUX CALÈCHES EN VILLE !
#StopAuxCalechesEnVille #BienEtreAnimal #GenèvePourLesAnimaux
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