Fermer nos graineteries du marché, c’est clairement prononcer un arrêt de mort contre tous les oiseaux coexistant avec nous en ville et les vouer à crever lentement de faim dans leur coin.
Il nous suffit de prendre pour exemple le pigeon des villes qui est un animal domestique abandonné. C’est un animal granivore, qui dépend aujourd’hui pour sa survie des miettes que lui laisse l’être humain.
Un certain nombre d’espèces et de variétés d’oiseaux élevées en captivité depuis très longtemps ont été classées récemment comme domestiques dans l’arrêté du 11 août 2006. Les canaris, les perruches ondulées et les perruches calopsittes, qui sont élevées depuis plus d’un siècle en Europe et ne sont plus exportées de leur pays d’origine en font naturellement partie.
Il ne faut donc pas les relâcher, ce serait les vouer à une mort. À qui sait faire usage de son bon sens et de son humanité, une telle décision apparait hypocrite, cruelle et évidemment nulle et non avenue.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.