À l’attention des laboratoires CEVA et HIPRA.
J’ai appris avec effroi le traitement réservé aux juments au sein des fermes à sang d’Argentine et d’Uruguay.
Les juments y sont saignées, maltraitées, avortées, tout cela pour extraire de leur sang une hormone, l’eCG, qui permet de faire ovuler sur commande, les brebis, chèvres et truies des élevages français...
Les associations vous alertent sur le sujet depuis 2015. Hélas, les images diffusées aujourd’hui par WELFARM montrent que la situation ne s’est pas améliorée.
En Argentine et en Uruguay, les lois de protection animale sont quasi-inexistantes. Les fermes peuvent donc y produire de l’eCG à bas coût, sans se soucier des juments.
Les avortements systématiques dans un but purement économique sont contraires à l’éthique. Les prélèvements de sang massifs et répétés mettent à mal la santé des juments.
De telles pratiques ne seraient pas tolérées en France. Il est donc inadmissible que des laboratoires puissent commercialiser, sur notre territoire, des médicaments produits dans ces conditions.
Les laboratoires MSD ont déjà renoncé à se fournir auprès de ces fermes.
C’est pourquoi je joins aujourd’hui ma voix à celle de WELFARM pour vous demander de prendre un engagement : celui de ne pas acheter d’eCG auprès des fermes à sang d’Argentine et d’Uruguay.
Avec WELFARM, je dis non aux fermes à sang !
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.